La joueuse de tennis roumaine Simona Halep a publiquement critiqué vendredi la mansuétude dont a selon elle bénéficié la Polonaise Iga Swiatek, suspendue un mois pour un contrôle positif, alors qu'elle-même avait reçu une suspension initiale de quatre ans.
L'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (ITIA) a révélé jeudi que Swiatek, N°2 mondiale, avait été contrôlée positive à une substance interdite, mais la quadruple lauréate de Roland-Garros n'a néanmoins écopé que d'une courte suspension.
"Je me demande pourquoi une telle différence de traitement et de jugement ? Je ne trouve pas et je ne pense pas qu'il puisse y avoir une réponse logique", a déploré Halep dans un long message posté en roumain sur son compte Instagram.
"Il ne peut s'agir que de mauvaise volonté de la part de l'ITIA, l'organisation qui a tout fait pour me détruire malgré l'évidence. Elle a voulu à tout prix détruire les dernières années de ma carrière", assure-t-elle.
D'abord suspendue jusqu'en 2026 pour un contrôle positif à l'US Open 2022, et une anomalie sur son passeport biologique, Halep a vu le Tribunal arbitral du sport (TAS) réduire en mars 2024 la sanction à neuf mois, ce qui lui a permis de revenir sur les courts.
"J'ai souffert, je souffre et je souffrirai peut-être toujours de l'injustice qui m'a été faite. Comment est-il possible que dans des affaires identiques se déroulant à peu près au même moment, l'ITIA ait des approches complètement différentes à mon détriment", s'interroge la joueuse de 33 ans, redescendue au 877e rang mondial.
"J'ai perdu deux ans de ma carrière, j'ai perdu beaucoup de nuits blanches, de pensées, d'anxiété, de questions sans réponses... mais j'ai obtenu justice. Il s'est avéré qu'il s'agissait d'une contamination et que (l'anomalie de son) passeport biologique était une pure invention", affirme la Roumaine, titrée à Roland-Garros en 2018 et à Wimbledon en 2019.
L'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (ITIA) a révélé jeudi que Swiatek, N°2 mondiale, avait été contrôlée positive à une substance interdite, mais la quadruple lauréate de Roland-Garros n'a néanmoins écopé que d'une courte suspension.
"Je me demande pourquoi une telle différence de traitement et de jugement ? Je ne trouve pas et je ne pense pas qu'il puisse y avoir une réponse logique", a déploré Halep dans un long message posté en roumain sur son compte Instagram.
"Il ne peut s'agir que de mauvaise volonté de la part de l'ITIA, l'organisation qui a tout fait pour me détruire malgré l'évidence. Elle a voulu à tout prix détruire les dernières années de ma carrière", assure-t-elle.
D'abord suspendue jusqu'en 2026 pour un contrôle positif à l'US Open 2022, et une anomalie sur son passeport biologique, Halep a vu le Tribunal arbitral du sport (TAS) réduire en mars 2024 la sanction à neuf mois, ce qui lui a permis de revenir sur les courts.
"J'ai souffert, je souffre et je souffrirai peut-être toujours de l'injustice qui m'a été faite. Comment est-il possible que dans des affaires identiques se déroulant à peu près au même moment, l'ITIA ait des approches complètement différentes à mon détriment", s'interroge la joueuse de 33 ans, redescendue au 877e rang mondial.
"J'ai perdu deux ans de ma carrière, j'ai perdu beaucoup de nuits blanches, de pensées, d'anxiété, de questions sans réponses... mais j'ai obtenu justice. Il s'est avéré qu'il s'agissait d'une contamination et que (l'anomalie de son) passeport biologique était une pure invention", affirme la Roumaine, titrée à Roland-Garros en 2018 et à Wimbledon en 2019.