Des manifestants ont pris pour cible, le 16 mai 2024, les tomates marocaines à Perpignan, en France, incités par trois organisations agricoles françaises : la Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FDSEA), Légumes de France et Jeunes Agriculteurs. Ces groupes protestaient contre ce qu'ils appellent l'importation massive de produits marocains, estimant que cela représente une concurrence déloyale durant la saison de production française. Ils revendiquent un affichage plus transparent pour les consommateurs français afin de distinguer clairement l'origine des produits.
En réponse, la Confédération Marocaine de l’Agriculture et du Développement Rural (COMADER) a publié un communiqué dans lequel elle souligne que « la tomate marocaine est exportée en France dans le cadre légal de l'accord agricole entre le Maroc et l'Union Européenne ». Lesdits légumes, conformes aux normes en vigueur, sont soumis à des contrôles sanitaires stricts par les autorités européennes avant leur mise sur le marché de l’Hexagone et dans le reste de l'Europe.
La COMADER condamne ces actions qu'elle qualifie d'incompréhensibles et fallacieuses, dénonçant également « le manque de rigueur des autorités françaises face à la multiplication des attaques contre les produits agricoles marocains ». L'Organisation marocaine réaffirme son engagement à travailler avec ses partenaires européens pour préserver une relation commerciale bénéfique aux deux parties, tout en respectant les flux de marchandises.
Cependant, la COMADER exprime son indignation face aux attaques récurrentes et infondées contre les produits marocains depuis le début de la campagne d'exportation. Elle se réserve le droit de défendre les intérêts légitimes des exportateurs marocains, qui opèrent en totale légalité et en conformité avec les règles de l'Union Européenne.
Le communiqué rappelle que la présence des tomates marocaines sur le marché français vise à compenser un déficit de production locale en cette période de l'année. De plus, les sociétés et exportateurs marocains créent des centaines d'emplois logistiques à Perpignan.
Enfin, la COMADER adresse un message clair aux organisations professionnelles françaises impliquées dans ces actions : « Ni la COMADER ni ses adhérents ne resteront les bras croisés face à de tels agissements inadmissibles ».
En réponse, la Confédération Marocaine de l’Agriculture et du Développement Rural (COMADER) a publié un communiqué dans lequel elle souligne que « la tomate marocaine est exportée en France dans le cadre légal de l'accord agricole entre le Maroc et l'Union Européenne ». Lesdits légumes, conformes aux normes en vigueur, sont soumis à des contrôles sanitaires stricts par les autorités européennes avant leur mise sur le marché de l’Hexagone et dans le reste de l'Europe.
La COMADER condamne ces actions qu'elle qualifie d'incompréhensibles et fallacieuses, dénonçant également « le manque de rigueur des autorités françaises face à la multiplication des attaques contre les produits agricoles marocains ». L'Organisation marocaine réaffirme son engagement à travailler avec ses partenaires européens pour préserver une relation commerciale bénéfique aux deux parties, tout en respectant les flux de marchandises.
Cependant, la COMADER exprime son indignation face aux attaques récurrentes et infondées contre les produits marocains depuis le début de la campagne d'exportation. Elle se réserve le droit de défendre les intérêts légitimes des exportateurs marocains, qui opèrent en totale légalité et en conformité avec les règles de l'Union Européenne.
Le communiqué rappelle que la présence des tomates marocaines sur le marché français vise à compenser un déficit de production locale en cette période de l'année. De plus, les sociétés et exportateurs marocains créent des centaines d'emplois logistiques à Perpignan.
Enfin, la COMADER adresse un message clair aux organisations professionnelles françaises impliquées dans ces actions : « Ni la COMADER ni ses adhérents ne resteront les bras croisés face à de tels agissements inadmissibles ».