Le tourisme au Maroc vit depuis 18 mois une situation catastrophique inédite marquée par un gel quasi-total des activités. Le secteur de l’hébergement touristique a été très lourdement impacté durant toute cette période, obligeant plus de 75% des établissements hôteliers à l’arrêt de leurs activités. Ainsi, face à ces problèmes, la Fédération Nationale de l’Industrie Hôtelière (FNIH) sollicite le renouvellement des mesures de soutien par le gouvernement.
« Après plus de 18 mois d’activité cahoteuse, pour ne pas dire presque inexistante, le secteur de l’hébergement touristique est en train de vivre une impasse sans précédent. Aucune perspective positive n’est visible avant le mois d’Avril 2022. Toutes les doléances exprimées et les alertes lancées pour sauver ce secteur sont restées lettre morte », déplore le communiqué officiel.
Pour les professionnels, ce qui est désormais en jeu est la viabilité des établissements d’hébergement touristique, leur capacité à maintenir l’emploi, honorer leurs engagements fiscaux, sociaux et financiers, entretenir leurs actifs et préserver les ressources humaines talentueuses formées depuis plus de deux décennies. A l’instar des autres activités touristiques, le secteur de l’hébergement, à bout de souffle, est sur le point de succomber une fois pour toutes à cette crise devenue fatale.
La FNIH conçoit que l’urgence sanitaire soit une préoccupation nationale qui passe avant tout, mais malgré toute cette bonne volonté et les sacrifices cumulés, les structures d’hébergement touristiques regrettent que le gouvernement ne se soit pas mobilisé à leurs côtés pour les accompagner dans leur survie. D’ailleurs, les professionnels déclarent que même l’indemnité Covid, dédiée aux employés, n’a toujours pas été confirmée pour les mois prochains.
Dans ce contexte, consciente des efforts inlassables du ministère du Tourisme pour débloquer la situation, de l’action ininterrompue de la Confédération Nationale du Tourisme (CNT) dans ce sens et de la vigilance du Comité de Veille Economique (CVE) pour accompagner les doléances légitimes des hôteliers, la Fédération Nationale de l‘Industrie Hôtelière « est dans l’obligation de relayer les S.O.S de survie de toutes ses Associations régionales afin de sensibiliser le gouvernement sur les conséquences économiques, sociales et financières inéluctables si ce long silence incompris perdure, et bien sûr trouver des solutions urgentes dans le contexte actuel », conclut le communiqué.
« Après plus de 18 mois d’activité cahoteuse, pour ne pas dire presque inexistante, le secteur de l’hébergement touristique est en train de vivre une impasse sans précédent. Aucune perspective positive n’est visible avant le mois d’Avril 2022. Toutes les doléances exprimées et les alertes lancées pour sauver ce secteur sont restées lettre morte », déplore le communiqué officiel.
Pour les professionnels, ce qui est désormais en jeu est la viabilité des établissements d’hébergement touristique, leur capacité à maintenir l’emploi, honorer leurs engagements fiscaux, sociaux et financiers, entretenir leurs actifs et préserver les ressources humaines talentueuses formées depuis plus de deux décennies. A l’instar des autres activités touristiques, le secteur de l’hébergement, à bout de souffle, est sur le point de succomber une fois pour toutes à cette crise devenue fatale.
La FNIH conçoit que l’urgence sanitaire soit une préoccupation nationale qui passe avant tout, mais malgré toute cette bonne volonté et les sacrifices cumulés, les structures d’hébergement touristiques regrettent que le gouvernement ne se soit pas mobilisé à leurs côtés pour les accompagner dans leur survie. D’ailleurs, les professionnels déclarent que même l’indemnité Covid, dédiée aux employés, n’a toujours pas été confirmée pour les mois prochains.
Dans ce contexte, consciente des efforts inlassables du ministère du Tourisme pour débloquer la situation, de l’action ininterrompue de la Confédération Nationale du Tourisme (CNT) dans ce sens et de la vigilance du Comité de Veille Economique (CVE) pour accompagner les doléances légitimes des hôteliers, la Fédération Nationale de l‘Industrie Hôtelière « est dans l’obligation de relayer les S.O.S de survie de toutes ses Associations régionales afin de sensibiliser le gouvernement sur les conséquences économiques, sociales et financières inéluctables si ce long silence incompris perdure, et bien sûr trouver des solutions urgentes dans le contexte actuel », conclut le communiqué.