Toyota, ainsi que Honda, Suzuki, Mazda et Yamaha sont concernés, selon le ministère nippon des Transports. Toyota, via sa filiale Daihatsu, avait déjà été touché par une nouvelle similaire fin 2023, et a été obligé de suspendre toute sa production au Japon, n’ayant pu la reprendre qu’à partir de mai dernier.
« Il est extrêmement regrettable que d’autres actes répréhensibles aient été découverts, car les actions frauduleuses liées aux demandes de certification de modèles sapent la confiance des utilisateurs et ébranlent le fondement même du système de certification des véhicules », a commenté le ministère dans un communiqué.
Toyota, de son côté, a déclaré, dans un communiqué séparé, que selon des résultats préliminaires de son enquête interne, sept de ses modèles, dont trois encore produits au Japon, « ont été testés en employant des méthodes différentes des normes gouvernementales ».
Les demandes de certification pour ces modèles comportaient des « données inadéquates », dans les tests de protection des piétons et des occupants des véhicules, ou des « erreurs » dans les tests de collision, a continué Toyota, tout en évitant d’utiliser le mot « fraude ».
Le groupe a toutefois suspendu les ventes et les livraisons au Japon de son break Corolla Fielder, sa berline Corolla Axio et son SUV compact Yaris Cross. Akio Toyoda, le président du Conseil d’administration du groupe Toyota Motor Corporation, se retrouve particulièrement fragilisé, lui qui excluait des maux similaires au sein de la maison mère.
« Il est extrêmement regrettable que d’autres actes répréhensibles aient été découverts, car les actions frauduleuses liées aux demandes de certification de modèles sapent la confiance des utilisateurs et ébranlent le fondement même du système de certification des véhicules », a commenté le ministère dans un communiqué.
Toyota, de son côté, a déclaré, dans un communiqué séparé, que selon des résultats préliminaires de son enquête interne, sept de ses modèles, dont trois encore produits au Japon, « ont été testés en employant des méthodes différentes des normes gouvernementales ».
Les demandes de certification pour ces modèles comportaient des « données inadéquates », dans les tests de protection des piétons et des occupants des véhicules, ou des « erreurs » dans les tests de collision, a continué Toyota, tout en évitant d’utiliser le mot « fraude ».
Le groupe a toutefois suspendu les ventes et les livraisons au Japon de son break Corolla Fielder, sa berline Corolla Axio et son SUV compact Yaris Cross. Akio Toyoda, le président du Conseil d’administration du groupe Toyota Motor Corporation, se retrouve particulièrement fragilisé, lui qui excluait des maux similaires au sein de la maison mère.