Dans le cadre des efforts fournis par le Royaume en matière du renforcement de l’usage des transports publics, la ville de Casablanca s’apprête à lancer des bus à haut niveau de service (BHNS), plus connus sous le nom «busway ». C’est en effet un transport en commun en site propre (TCSP), un transport qui emprunte une voie qui lui est uniquement réservée. Malgré le fait qu’il circule sur pneus, le « busway » dispose de sa propre voie, plateforme et station, tout comme le tramway avec le même niveau de service et de qualité. Il a des allures de «petit tram» dont la différence réside sur sa capacité d’accueil qui se limite à environ 200 places», a déclaré à « L’Opinion » Mme. Shada Taïb, chargée de communication auprès de la direction générale de Casa Transport.
Elle a ajouté que «ce projet s’inscrit dans le cadre d’un plan stratégique de développement de Casablanca pour 2015-2020, ayant été signé devant SM le Roi Mohammed VI en 2014, qui vise l’amélioration des conditions et de qualité de vie des Casablancais, et qui englobe le renforcement de la mobilité et des transports. Il était donc parmi ses objectifs de mettre en place deux lignes de BHNS (5 et 6) qui vont déserter des quartiers à forte densité de la ville», ajoutant que «les travaux d’infrastructure et d’aménagement urbain sont en cours. Ils prendront fin vers la mi-2022».
Malgré le fait que les « busway » ne rouleront pas sur des lignes électriques, mais «ils utiliseront un carburant propre, émettant moins de CO2 pour des déplacements moins polluants. Ces bus peuvent donc être, plus ou moins, qualifiés d’«amis de l’environnement », a-t-elle précisé.
Des bus à la portée de tous
Dans un communiqué, la société Casa Transport a indiqué que «la ligne Casa Busway L1 s’étendra sur une longueur d’environ 12,5 km, comportant 19 stations qui relieront le quartier Errahma au boulevard Ghandi» notant qu’«elle sera dotée d’un point de correspondance avec la ligne tramway T2, station Place Financière». Tandis que la L2 connectera le quartier Salmia à Lissasfa en desservant les boulevards Al Laymoun, Al Qods, Mohammed VI, Moqdad Lahrizi et Al Joulane. Elle comptera 20 stations le long de 12 km d’itinéraire et offrira 2 points de correspondance avec les lignes de Casa tramway T1, station Lissasfa et T3 en cours de construction».
En effet, ils se distinguent des autres moyens de transport par la rapidité et la régularité, la grande amplitude horaire du service et la fréquence élevée des passages, le confort et la modernité des véhicules, ainsi que l’accessibilité des stations pour les personnes à mobilité réduite (PMR). Par ailleurs, Mme.
Taïb a souligné que le prix du billet sera abordable et sera, tout de même, subventionné par la mairie de Casablanca, ajoutant que le coût global des 2 lignes s’élève à 1,8 milliard de DH.
«Ce projet contribuera aussi bien à faciliter les déplacements des Casablancais qu’à réduire l’utilisation de voitures personnelles et contribuera ainsi à lutter contre la pollution», at-elle-conclut.
Nouvelle approche de mobilité urbaine
Elle a ajouté que «ce projet s’inscrit dans le cadre d’un plan stratégique de développement de Casablanca pour 2015-2020, ayant été signé devant SM le Roi Mohammed VI en 2014, qui vise l’amélioration des conditions et de qualité de vie des Casablancais, et qui englobe le renforcement de la mobilité et des transports. Il était donc parmi ses objectifs de mettre en place deux lignes de BHNS (5 et 6) qui vont déserter des quartiers à forte densité de la ville», ajoutant que «les travaux d’infrastructure et d’aménagement urbain sont en cours. Ils prendront fin vers la mi-2022».
Malgré le fait que les « busway » ne rouleront pas sur des lignes électriques, mais «ils utiliseront un carburant propre, émettant moins de CO2 pour des déplacements moins polluants. Ces bus peuvent donc être, plus ou moins, qualifiés d’«amis de l’environnement », a-t-elle précisé.
Des bus à la portée de tous
Dans un communiqué, la société Casa Transport a indiqué que «la ligne Casa Busway L1 s’étendra sur une longueur d’environ 12,5 km, comportant 19 stations qui relieront le quartier Errahma au boulevard Ghandi» notant qu’«elle sera dotée d’un point de correspondance avec la ligne tramway T2, station Place Financière». Tandis que la L2 connectera le quartier Salmia à Lissasfa en desservant les boulevards Al Laymoun, Al Qods, Mohammed VI, Moqdad Lahrizi et Al Joulane. Elle comptera 20 stations le long de 12 km d’itinéraire et offrira 2 points de correspondance avec les lignes de Casa tramway T1, station Lissasfa et T3 en cours de construction».
En effet, ils se distinguent des autres moyens de transport par la rapidité et la régularité, la grande amplitude horaire du service et la fréquence élevée des passages, le confort et la modernité des véhicules, ainsi que l’accessibilité des stations pour les personnes à mobilité réduite (PMR). Par ailleurs, Mme.
Taïb a souligné que le prix du billet sera abordable et sera, tout de même, subventionné par la mairie de Casablanca, ajoutant que le coût global des 2 lignes s’élève à 1,8 milliard de DH.
«Ce projet contribuera aussi bien à faciliter les déplacements des Casablancais qu’à réduire l’utilisation de voitures personnelles et contribuera ainsi à lutter contre la pollution», at-elle-conclut.
Nouvelle approche de mobilité urbaine
Pour les Casablancais, l’usage des modes de transports en commun en site propre rapides et souples et l’infrastructure de mobilité doit leur permettre de profiter pleinement de la vie à Casablanca et leur faciliter l’accès aux services nécessaires au quotidien, en toute rapidité et sécurité, indique un communiqué de Casa Transport. Cette offre, prévue à l’horizon 2022, est repensée et adaptée dans cette perspective, afin de proposer des systèmes de transport en commun assurant une accessibilité maximale où aucun quartier de la ville n’est mal desservi. D’où la réalisation prochaine de «4 lignes tramways et 2 lignes BHNS, 160 stations voyageurs, 15 pôles d’échange multimodaux, restructuration et mise à niveau du réseau bus, couloirs dédiés… etc.», ajoute la même source.
Siham MDIJI