Présidées par le ministre du Transport et de la Logistique, Abdessamad Kayouh, ces deux réunions s’inscrivent dans le cadre du processus du dialogue sectoriel et du travail conjoint entrepris par le ministère du Transport et de la Logistique avec les professionnels du transport routier au Maroc, précise le ministère dans un communiqué.
Ces rencontres, qui se sont déroulées en présence du Directeur Général de l'Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) et de responsables du ministère et des établissements sous tutelle, « représentent une opportunité pour valoriser le partenariat de confiance établi entre le ministère et les professionnels du secteur, et une opportunité d’écouter les interventions des professionnels pour s’enquérir des problématiques auxquelles ils sont confrontés », a affirmé Kayouh.
Les autorités compétentes œuvrent dans ce sens à renforcer les conditions d’accès à la profession du transport routier international de marchandises, avec la mise à jour d’un projet de décret en cours d’approbation. Elles s’attellent également à fixer et publier régulièrement un tarif de référence, conformément à la réglementation en vigueur. Pour améliorer les conditions de travail des transporteurs, des infrastructures adaptées, notamment des parkings dans les ports nationaux, seront aménagées en coordination avec les partenaires du secteur. Par ailleurs, la digitalisation et la simplification des procédures administratives se poursuivent afin d’optimiser les démarches. Un mécanisme d’indexation des prix des carburants est aussi à l’étude pour mieux gérer les fluctuations du marché. Des réformes du Code de la route sont envisagées, notamment le remplacement de la mise en fourrière des véhicules par des amendes et une clarification des responsabilités en cas de surcharge. L’amélioration du système d’information dédié au renouvellement du parc de véhicules, ainsi que la simplification des procédures associées, figurent également parmi les priorités. En parallèle, des sessions de sensibilisation à la sécurité routière seront organisées en partenariat avec les professionnels. Par ailleurs, le renforcement des effectifs chargés des autorisations bilatérales et l’étude de la création de zones logistiques intégrées viennent compléter cette série de mesures visant à moderniser et structurer davantage le secteur.
À cette occasion, les professionnels ont exprimé leur satisfaction quant à la méthodologie adoptée par le ministère ainsi qu’aux initiatives visant à réformer et à moderniser le secteur du transport routier de marchandises, saluant également la poursuite du dialogue et du travail collaboratif avec les différents services du ministère, ajoute le communiqué.
Kayouh a réaffirmé l’engagement du ministère, dans le cadre de la continuité du dialogue avec les professionnels, à améliorer les conditions de travail des professionnels du transport routier au Maroc, ajoutant que cette réunion constitue une opportunité pour mieux comprendre les contraintes rencontrées par les professionnels dans l’exercice de leurs activités et trouver les solutions adaptées, dans le but de promouvoir ce secteur vital et de relever sa compétitivité pour répondre aux attentes des parties prenantes et aux ambitions du Royaume, conclut le communiqué.
Ces rencontres, qui se sont déroulées en présence du Directeur Général de l'Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) et de responsables du ministère et des établissements sous tutelle, « représentent une opportunité pour valoriser le partenariat de confiance établi entre le ministère et les professionnels du secteur, et une opportunité d’écouter les interventions des professionnels pour s’enquérir des problématiques auxquelles ils sont confrontés », a affirmé Kayouh.
Les autorités compétentes œuvrent dans ce sens à renforcer les conditions d’accès à la profession du transport routier international de marchandises, avec la mise à jour d’un projet de décret en cours d’approbation. Elles s’attellent également à fixer et publier régulièrement un tarif de référence, conformément à la réglementation en vigueur. Pour améliorer les conditions de travail des transporteurs, des infrastructures adaptées, notamment des parkings dans les ports nationaux, seront aménagées en coordination avec les partenaires du secteur. Par ailleurs, la digitalisation et la simplification des procédures administratives se poursuivent afin d’optimiser les démarches. Un mécanisme d’indexation des prix des carburants est aussi à l’étude pour mieux gérer les fluctuations du marché. Des réformes du Code de la route sont envisagées, notamment le remplacement de la mise en fourrière des véhicules par des amendes et une clarification des responsabilités en cas de surcharge. L’amélioration du système d’information dédié au renouvellement du parc de véhicules, ainsi que la simplification des procédures associées, figurent également parmi les priorités. En parallèle, des sessions de sensibilisation à la sécurité routière seront organisées en partenariat avec les professionnels. Par ailleurs, le renforcement des effectifs chargés des autorisations bilatérales et l’étude de la création de zones logistiques intégrées viennent compléter cette série de mesures visant à moderniser et structurer davantage le secteur.
À cette occasion, les professionnels ont exprimé leur satisfaction quant à la méthodologie adoptée par le ministère ainsi qu’aux initiatives visant à réformer et à moderniser le secteur du transport routier de marchandises, saluant également la poursuite du dialogue et du travail collaboratif avec les différents services du ministère, ajoute le communiqué.
Kayouh a réaffirmé l’engagement du ministère, dans le cadre de la continuité du dialogue avec les professionnels, à améliorer les conditions de travail des professionnels du transport routier au Maroc, ajoutant que cette réunion constitue une opportunité pour mieux comprendre les contraintes rencontrées par les professionnels dans l’exercice de leurs activités et trouver les solutions adaptées, dans le but de promouvoir ce secteur vital et de relever sa compétitivité pour répondre aux attentes des parties prenantes et aux ambitions du Royaume, conclut le communiqué.