"Une réunion a commencé ce soir entre la délégation égyptienne responsable des négociations à Doha et une délégation du Hamas dans le but de matérialiser un cessez-le-feu", a déclaré une source ayant requis l'anonymat, n'étant pas autorisée à s'exprimer publiquement sur le sujet.
Des médiateurs qataris étaient également impliqués dans les discussions, a ajouté cette source.
Les discussions se concentrent sur la possibilité de mettre en place une trêve pendant l'Aïd al-Fitr, fête musulmane marquant la fin du ramadan et susceptible de commencer dimanche et la Pâque juive (du 12 au 19 avril), ainsi que sur l'entrée d'aide humanitaire dans la bande de Gaza, a déclaré la source.
"Les médiateurs mènent des discussions intensives avec toutes les parties pour sceller un cessez-le-feu et avancer vers la deuxième phase de l'accord", a-t-on ajouté de même source, soulignant que le Hamas avait exprimé sa volonté de répondre "positivement" à toute proposition qui mettrait fin aux combats.
Confirmant les négociations, une autre source palestinienne proche du Hamas a indiqué que, malgré les discussions, "aucune percée" n'avait été réalisée jusqu'à présent.
Les négociations indirectes entre le Hamas et Israël, menées par l'Égypte, le Qatar et les États-Unis, en vue de prolonger la trêve entrée en vigueur le 19 janvier sont au point mort depuis l'expiration le 1er mars de la première phase du cessez-le-feu ayant permis le retour de 33 otages israéliens (dont huit dans des cercueils) à Gaza en échange de la libération par Israël de quelque 1.800 prisonniers palestiniens.
La trêve a pris fin le 18 mars avec la reprise des bombardements israéliens sur Gaza, rapidement suivi d'opérations militaire israéliennes au sol, l'armée se redéployant des zones du territoire qu'elle avait évacués pendant la première phase
Selon Al-Qahera News, un média lié à l'Etat égyptien, les médiateurs cherchent à "sécuriser la libération des prisonniers et des otages dans le cadre d'une phase transitoire",
Les discussions doivent également porter sur "l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza en préparation de la transition vers la deuxième phase de l'accord de cessez-le-feu permanent", a ajouté la chaîne.
Mercredi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé de s'emparer de nouveaux secteurs de Gaza si le Hamas ne libère pas les derniers otages qu'il détient.
Le mouvement islamiste palestinien a averti que ces otages reviendraient "dans des cercueils" si Israël ne cessait pas de bombarder Gaza.
Depuis la reprise des frappes israéliennes, au moins 855 Palestiniens ont été tués dans le territoire assiégé, selon le ministère de la Santé du Hamas.
La reprise des opérations aériennes et terrestres israéliennes a mis fin à deux mois de calme précaire, tandis que le Hamas a repris ses attaques à la roquette vers Israël quelques jours plus tard.
L'ONU a déclaré mercredi que les récentes opérations israéliennes avaient déplacé 142.000 personnes en sept jours et signalé qu'il ne lui restait plus que deux semaines d'aide alimentaire à Gaza, après qu'Israël a fermé les points de passage pour l'aide humanitaire le 2 mars.
Sur les 251 otages enlevés lors de l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, 58 sont toujours retenus à Gaza, dont 34 sont morts selon l'armée israélienne.
L'offensive menée par Israël en représailles a fait au moins 50.208 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Des médiateurs qataris étaient également impliqués dans les discussions, a ajouté cette source.
Les discussions se concentrent sur la possibilité de mettre en place une trêve pendant l'Aïd al-Fitr, fête musulmane marquant la fin du ramadan et susceptible de commencer dimanche et la Pâque juive (du 12 au 19 avril), ainsi que sur l'entrée d'aide humanitaire dans la bande de Gaza, a déclaré la source.
"Les médiateurs mènent des discussions intensives avec toutes les parties pour sceller un cessez-le-feu et avancer vers la deuxième phase de l'accord", a-t-on ajouté de même source, soulignant que le Hamas avait exprimé sa volonté de répondre "positivement" à toute proposition qui mettrait fin aux combats.
Confirmant les négociations, une autre source palestinienne proche du Hamas a indiqué que, malgré les discussions, "aucune percée" n'avait été réalisée jusqu'à présent.
Les négociations indirectes entre le Hamas et Israël, menées par l'Égypte, le Qatar et les États-Unis, en vue de prolonger la trêve entrée en vigueur le 19 janvier sont au point mort depuis l'expiration le 1er mars de la première phase du cessez-le-feu ayant permis le retour de 33 otages israéliens (dont huit dans des cercueils) à Gaza en échange de la libération par Israël de quelque 1.800 prisonniers palestiniens.
La trêve a pris fin le 18 mars avec la reprise des bombardements israéliens sur Gaza, rapidement suivi d'opérations militaire israéliennes au sol, l'armée se redéployant des zones du territoire qu'elle avait évacués pendant la première phase
Selon Al-Qahera News, un média lié à l'Etat égyptien, les médiateurs cherchent à "sécuriser la libération des prisonniers et des otages dans le cadre d'une phase transitoire",
Les discussions doivent également porter sur "l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande de Gaza en préparation de la transition vers la deuxième phase de l'accord de cessez-le-feu permanent", a ajouté la chaîne.
Mercredi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé de s'emparer de nouveaux secteurs de Gaza si le Hamas ne libère pas les derniers otages qu'il détient.
Le mouvement islamiste palestinien a averti que ces otages reviendraient "dans des cercueils" si Israël ne cessait pas de bombarder Gaza.
Depuis la reprise des frappes israéliennes, au moins 855 Palestiniens ont été tués dans le territoire assiégé, selon le ministère de la Santé du Hamas.
La reprise des opérations aériennes et terrestres israéliennes a mis fin à deux mois de calme précaire, tandis que le Hamas a repris ses attaques à la roquette vers Israël quelques jours plus tard.
L'ONU a déclaré mercredi que les récentes opérations israéliennes avaient déplacé 142.000 personnes en sept jours et signalé qu'il ne lui restait plus que deux semaines d'aide alimentaire à Gaza, après qu'Israël a fermé les points de passage pour l'aide humanitaire le 2 mars.
Sur les 251 otages enlevés lors de l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, 58 sont toujours retenus à Gaza, dont 34 sont morts selon l'armée israélienne.
L'offensive menée par Israël en représailles a fait au moins 50.208 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.