"Je suis beaucoup plus enclin à le faire un peu après l'élection", a déclaré le locataire de la Maison blanche dont le pays assure la présidence tournante du club des sept pays les plus industrialisés de la planète (Royaume-Uni, Canada, France, Allemagne, Italie, Japon et Etats-Unis).
"Nous devions le faire en septembre" mais "je l'ai dit à mon équipe hier 'pourquoi ne pas le faire après l'élection'" afin d'avoir "un peu plus de temps pour y réfléchir parce que c'est très important'", a-t-il ajouté lors de son point presse quotidien consacré à l'épidémie de coronavirus.
Le président américain souhaitait initialement organiser un sommet du G7 en juin à Washington, mais la chancelière allemande Angela Merkel avait décliné en raison de l'épidémie en cours.
Il avait alors reporté le sommet au mois de septembre dans l'espoir d'en faire le symbole d'un retour à la normale avant l'élection présidentielle du 3 novembre.
En juin, il avait également exprimé son souhait d'inviter d'autres dirigeants, comme le président russe Vladimir Poutine, qui avait été exclu en 2014 de ce qui était alors le G8 pour avoir annexé la péninsule ukrainienne de Crimée.
"Nous allons inviter certaines personnes qui ne sont pas membres du G7", a confirmé le locataire de la Maison blanche lundi. "Certaines d'entre elles ont d'ores et déjà accepté", a-t-il ajouté, sans donner plus de précisions.
"Nous devions le faire en septembre" mais "je l'ai dit à mon équipe hier 'pourquoi ne pas le faire après l'élection'" afin d'avoir "un peu plus de temps pour y réfléchir parce que c'est très important'", a-t-il ajouté lors de son point presse quotidien consacré à l'épidémie de coronavirus.
Le président américain souhaitait initialement organiser un sommet du G7 en juin à Washington, mais la chancelière allemande Angela Merkel avait décliné en raison de l'épidémie en cours.
Il avait alors reporté le sommet au mois de septembre dans l'espoir d'en faire le symbole d'un retour à la normale avant l'élection présidentielle du 3 novembre.
En juin, il avait également exprimé son souhait d'inviter d'autres dirigeants, comme le président russe Vladimir Poutine, qui avait été exclu en 2014 de ce qui était alors le G8 pour avoir annexé la péninsule ukrainienne de Crimée.
"Nous allons inviter certaines personnes qui ne sont pas membres du G7", a confirmé le locataire de la Maison blanche lundi. "Certaines d'entre elles ont d'ores et déjà accepté", a-t-il ajouté, sans donner plus de précisions.