Les professionnels des médias publics tunisiens ont observé, samedi, une grève générale pour protester contre la mauvaise gestion de leurs établissements par l’État.
La grève générale, qui s’est poursuivie jusqu’à minuit ce samedi, a été suivie par les journalistes des Établissements publics de la Radio et de la Télévision tunisiennes, des radios régionales, de l'agence de presse officielle Tunis Afrique Presse (TAP), et des quotidiens La Presse (francophone) et Essahafa (arabophone), selon le correspondant de l’Agence Anadolu.
Des dizaines de professionnels des médias se sont rassemblés, devant le siège de l'Établissement de la télévision tunisienne, à l’appel du Syndicat national des journalistes tunisiens (Snjt), brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « non à la marginalisation », « pour l’activation de la convention-cadre», et « non aux poursuites judiciaires contre les journalistes ».
En marge de sa participation au rassemblement de protestation, le président du Snjt, Mohamed Yassine Jelassi, a déclaré à l'Agence Anadolu que « le gouvernement actuel fait la sourde oreille aux demandes des journalistes des établissements publics et n’accorde aucune importance aux négociations ».
« Ce gouvernement fait peu de cas de l’action syndicale et nous assistons à des grèves dans des secteurs vitaux pour cause de refus du dialogue avec les grévistes », estime Jelassi.
La grève générale, qui s’est poursuivie jusqu’à minuit ce samedi, a été suivie par les journalistes des Établissements publics de la Radio et de la Télévision tunisiennes, des radios régionales, de l'agence de presse officielle Tunis Afrique Presse (TAP), et des quotidiens La Presse (francophone) et Essahafa (arabophone), selon le correspondant de l’Agence Anadolu.
Des dizaines de professionnels des médias se sont rassemblés, devant le siège de l'Établissement de la télévision tunisienne, à l’appel du Syndicat national des journalistes tunisiens (Snjt), brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « non à la marginalisation », « pour l’activation de la convention-cadre», et « non aux poursuites judiciaires contre les journalistes ».
En marge de sa participation au rassemblement de protestation, le président du Snjt, Mohamed Yassine Jelassi, a déclaré à l'Agence Anadolu que « le gouvernement actuel fait la sourde oreille aux demandes des journalistes des établissements publics et n’accorde aucune importance aux négociations ».
« Ce gouvernement fait peu de cas de l’action syndicale et nous assistons à des grèves dans des secteurs vitaux pour cause de refus du dialogue avec les grévistes », estime Jelassi.