Antony Blinken se rendra en Afrique à partir du 7 au 9 août. Une visite destinée à réaffirmer la présence géopolitique des Etats-Unis sur le continent face à la Russie sur fond de guerre en Ukraine. La tournée africaine du ministre russe des Affaires étrangères vient a peine de se terminer que les Etats-Unis déploient déjà la contre-attaque.
Fin juillet, en Afrique, Serguei Lavrov a voulu démontrer que Moscou n’était pas isolé diplomatiquement et que les sanctions internationales contre son pays seraient responsables de la flambée des prix des matières premières. Pour contrer ce récit russe, le secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken se rendra en Afrique du Sud, en République démocratique du Congo et au Rwanda du 7 au 9 août. Une semaine plus tard, c’est Linda Thomas Greenfield l’ambassadrice de Joe Biden aux Nations unies qui visitera le Ghana et l’Ouganda, juste après le passage au Kenya et en Somalie de Samantha Power la cheffe de l’agence américaine de l’aide au développement.
Un rôle géostratégique des pays africains
Dans un communiqué, le département d’Etat explique le but de ces efforts diplomatiques américains : montrer « aux pays africains qu’ils ont un rôle géostratégique essentiel et sont des alliés cruciaux sur les questions les plus brûlantes de notre époque ». Blinken aura pour but de montrer « aux pays africains qu’ils ont un rôle géostratégique essentiel et sont des alliés cruciaux sur les questions les plus brûlantes de notre époque, de la promotion d’un système international ouvert et stable à la lutte contre les effets du changement climatique, l’insécurité alimentaire et les pandémies mondiales », relate le département d’État dans un communiqué.
Le chef de la diplomatie américaine visitera la métropole sudafricaine Johannesburg et la capitale, Pretoria, du 7 au 9 août, puis la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), Kinshasa, avant de se rendre au Rwanda, qui connaît un regain de tensions avec son voisin congolais qui l’accuse de soutenir la rébellion du M23. En Afrique du Sud, il dirigera dans la capitale Pretoria la délégation américaine « au dialogue stratégique entre les États-Unis et l’Afrique du Sud ».
Ce dialogue devrait permettre, selon le département d’État, de « renforcer et d’approfondir notre engagement envers la coopération bilatérale sur les problèmes mondiaux ainsi qu’un large éventail de priorités communes, notamment la santé, les infrastructures, le commerce et l’investissement, et le climat ».
Fin juillet, en Afrique, Serguei Lavrov a voulu démontrer que Moscou n’était pas isolé diplomatiquement et que les sanctions internationales contre son pays seraient responsables de la flambée des prix des matières premières. Pour contrer ce récit russe, le secrétaire d’Etat américain Anthony Blinken se rendra en Afrique du Sud, en République démocratique du Congo et au Rwanda du 7 au 9 août. Une semaine plus tard, c’est Linda Thomas Greenfield l’ambassadrice de Joe Biden aux Nations unies qui visitera le Ghana et l’Ouganda, juste après le passage au Kenya et en Somalie de Samantha Power la cheffe de l’agence américaine de l’aide au développement.
Un rôle géostratégique des pays africains
Dans un communiqué, le département d’Etat explique le but de ces efforts diplomatiques américains : montrer « aux pays africains qu’ils ont un rôle géostratégique essentiel et sont des alliés cruciaux sur les questions les plus brûlantes de notre époque ». Blinken aura pour but de montrer « aux pays africains qu’ils ont un rôle géostratégique essentiel et sont des alliés cruciaux sur les questions les plus brûlantes de notre époque, de la promotion d’un système international ouvert et stable à la lutte contre les effets du changement climatique, l’insécurité alimentaire et les pandémies mondiales », relate le département d’État dans un communiqué.
Le chef de la diplomatie américaine visitera la métropole sudafricaine Johannesburg et la capitale, Pretoria, du 7 au 9 août, puis la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), Kinshasa, avant de se rendre au Rwanda, qui connaît un regain de tensions avec son voisin congolais qui l’accuse de soutenir la rébellion du M23. En Afrique du Sud, il dirigera dans la capitale Pretoria la délégation américaine « au dialogue stratégique entre les États-Unis et l’Afrique du Sud ».
Ce dialogue devrait permettre, selon le département d’État, de « renforcer et d’approfondir notre engagement envers la coopération bilatérale sur les problèmes mondiaux ainsi qu’un large éventail de priorités communes, notamment la santé, les infrastructures, le commerce et l’investissement, et le climat ».