Le PSG et Manchester City sont-ils gérés sur le plan financier d’une façon légale et régulière ? Leur argent dépensé vient-il de la « caisse noire » dont personne ne sait l’origine ?
Les deux clubs appartiennent à des princes qataris qui possèdent des affaires et des entreprises dans le monde entier.
D’un côté comme de l’autre, leurs dirigeants sont pointés du doigt et toute la presse en parle dans des reportages qui pourraient faire couler beaucoup d’encre.
Incroyable mais vrai, en dépit de leur déficit dans la trésorerie, le PSG et Manchester City continuent à recruter les meilleurs footballeurs de la planète : M’Bappé et Haaland en sont de bons exemples.
A ce sujet, la Liga espagnole, sous la houlette de son président Javier Tebas, a signalé à l'UEFA le non-respect du fair-play financier d'États-clubs tels que le PSG et Manchester City.
Elle considère que les pratiques de ces équipes « altèrent l'écosystème et la pérennité du football, nuisent à toutes les équipes et gonflent artificiellement le marché, avec de l'argent non généré par le football lui-même ».
Le fair-play financier est une règle que l'UEFA a approuvée en 2010 et qui a subi des modifications pratiquement tous les ans (la dernière en avril 2022).
Le PSG et Manchester City ont enfreint toutes les clauses, y comprises celles sur les dépenses salariales.
Les clubs ne peuvent pas dépasser 70% de revenus par saison, et les deux équipes ne le font pas certainement.
Mbappé renouvelle pour le PSG jusqu'en 2025 à raison de 50 millions euros par saison, Messi reçoit 40 millions, Neymar ne descend pas en dessous de 30...
Et le PSG a eu des pertes de 200 millions cette année et entraîne encore 300 millions euros. Javier Tebas, président de LaLiga, a déjà prévenu que les deux clubs seraient dénoncés.
Le financement irrégulier du PSG et de Manchester City est expliqué comme suit dans le communiqué officiel de LaLiga : "Par des injections directes d'argent ou par le biais de sponsoring et d'autres contrats qui ne correspondent pas aux conditions du marché ou qui ont un sens économique ».
Parallèlement, Nasser Al-Khelaïfi est poursuivi en Suisse pour un conflit d'intérêts : « Tous issus de ses différents rôles au PSG, à l'UEFA, à l'ECA et à BeIN Sports.
Le conglomérat club-état est très bien monté et la justice doit intervenir » expliquent les dirigeants du football espagnol.
Les deux clubs appartiennent à des princes qataris qui possèdent des affaires et des entreprises dans le monde entier.
D’un côté comme de l’autre, leurs dirigeants sont pointés du doigt et toute la presse en parle dans des reportages qui pourraient faire couler beaucoup d’encre.
Incroyable mais vrai, en dépit de leur déficit dans la trésorerie, le PSG et Manchester City continuent à recruter les meilleurs footballeurs de la planète : M’Bappé et Haaland en sont de bons exemples.
A ce sujet, la Liga espagnole, sous la houlette de son président Javier Tebas, a signalé à l'UEFA le non-respect du fair-play financier d'États-clubs tels que le PSG et Manchester City.
Elle considère que les pratiques de ces équipes « altèrent l'écosystème et la pérennité du football, nuisent à toutes les équipes et gonflent artificiellement le marché, avec de l'argent non généré par le football lui-même ».
Le fair-play financier est une règle que l'UEFA a approuvée en 2010 et qui a subi des modifications pratiquement tous les ans (la dernière en avril 2022).
Le PSG et Manchester City ont enfreint toutes les clauses, y comprises celles sur les dépenses salariales.
Les clubs ne peuvent pas dépasser 70% de revenus par saison, et les deux équipes ne le font pas certainement.
Mbappé renouvelle pour le PSG jusqu'en 2025 à raison de 50 millions euros par saison, Messi reçoit 40 millions, Neymar ne descend pas en dessous de 30...
Et le PSG a eu des pertes de 200 millions cette année et entraîne encore 300 millions euros. Javier Tebas, président de LaLiga, a déjà prévenu que les deux clubs seraient dénoncés.
Le financement irrégulier du PSG et de Manchester City est expliqué comme suit dans le communiqué officiel de LaLiga : "Par des injections directes d'argent ou par le biais de sponsoring et d'autres contrats qui ne correspondent pas aux conditions du marché ou qui ont un sens économique ».
Parallèlement, Nasser Al-Khelaïfi est poursuivi en Suisse pour un conflit d'intérêts : « Tous issus de ses différents rôles au PSG, à l'UEFA, à l'ECA et à BeIN Sports.
Le conglomérat club-état est très bien monté et la justice doit intervenir » expliquent les dirigeants du football espagnol.
