L’étude menée par le Centre Marocain pour la citoyenneté montre que 17,2 % des individus interrogés affirment que la pratique la plus encombrante reste le harcèlement des gardiens de voiture. Le jet d’ordures dans l’espace public arrive en seconde position avec 16,5 %.
Quant au harcèlement sexuel des femmes, il est classé en 5e position dans la liste avec 7,1 % de votes. Ce dernier se classe au deuxième rang des pratiques les plus agaçantes pour les femmes avec 12,5 %. Le harcèlement des mendiants (6,6 %) et le tabagisme dans les lieux publics (5,5 %) arrivent respectivement en sixièmes et septièmes positions. Il est important de noter que les résultats de l’étude varient en fonction du sexe des déclarants.
Les auteurs de l’étude indiquent que l’espace public s’est transformé et tend à mettre en avant les valeurs individuelles au détriment des valeurs collectives. Ces derniers préviennent que l’espace public peut devenir « un lieu de discrimination, de provocation, de harcèlement et de mépris. » , suscitant des défis sécuritaires pour les droits de l’homme et de la nation.
L’étude conclut que «réussir à créer un espace public inclusif et accommodant pour tous, basé sur le respect est l’un des moyens de construire une société qui permet à ses membres de pratiquer différentes formes de leur citoyenneté. »
Il est important d’ajouter que l’étude inclut toutes les régions et tranches d’âge du Royaume.
Quant au harcèlement sexuel des femmes, il est classé en 5e position dans la liste avec 7,1 % de votes. Ce dernier se classe au deuxième rang des pratiques les plus agaçantes pour les femmes avec 12,5 %. Le harcèlement des mendiants (6,6 %) et le tabagisme dans les lieux publics (5,5 %) arrivent respectivement en sixièmes et septièmes positions. Il est important de noter que les résultats de l’étude varient en fonction du sexe des déclarants.
Les auteurs de l’étude indiquent que l’espace public s’est transformé et tend à mettre en avant les valeurs individuelles au détriment des valeurs collectives. Ces derniers préviennent que l’espace public peut devenir « un lieu de discrimination, de provocation, de harcèlement et de mépris. » , suscitant des défis sécuritaires pour les droits de l’homme et de la nation.
L’étude conclut que «réussir à créer un espace public inclusif et accommodant pour tous, basé sur le respect est l’un des moyens de construire une société qui permet à ses membres de pratiquer différentes formes de leur citoyenneté. »
Il est important d’ajouter que l’étude inclut toutes les régions et tranches d’âge du Royaume.