« Où était caché votre sens civique pendant les déboires et répercussions de la pandémie? Où étiez-vous pendant les saisons d’hiver, du printemps et de l’été 2020 ? Où étiez-vous quand le virus, par vagues successives, décimait les Marocains ? Où étiez-vous quand le peuple appelait au secours ? ». Telle était la réaction du Professeur Azeddine Ibrahimi aux mouvements de protestations contre le pass vaccinal et la campagne de vaccination.
Rappelons-le, le Comité scientifique est, depuis le 21 octobre, la cible de nombreuses critiques faites par une partie de la société civile, notamment concernant les effets secondaires du vaccin anti-Covid-19 et les décisions prises sur recommandations dudit Comité, dont l’imposition du pass vaccinal pour l’accès aux administrations et aux lieux publics.
Le Professeur Azeddine Ibrahimi, directeur du laboratoire de biotechnologie de la Faculté de médecine et de pharmacie de Rabat et membre du Comité technique et scientifique, s’est engagé, via sa page officielle Facebook, à éclairer l’opinion publique sur certains points importants en la matière. Le praticien s’est adressé, dimanche 7 novembre, aux acteurs de la société civile qui ne ménagent pas leurs efforts pour s’attaquer aux membres du Comité technique et scientifique.
Au nom de tous ses confrères et collègues, membres du Comité technique et scientifique, Ibrahimi a précisé qu’ils étaient tous présents avec le citoyen et qu’ils le sont toujours, qu’ils ont partagé avec lui leurs connaissances scientifiques, leurs craintes et leur optimisme et qu’ils ont tout donné et fait des sacrifices dans une totale mobilisation bénévole, afin que soient garantis aux Marocains leurs droits, dont le plus important est le droit à la vie et à l’information.
Pendant ce temps, ces « acteurs de la société civile et ces icônes émettaient des doutes sur le virus, son origine, la maladie, la pandémie, son existence et ses effets. Ils doutaient aussi des recherches du vaccin avant sa production, comme de la campagne de vaccination. Et nous avons réussi à organiser celle-ci sans réaction positive ni encouragement de la part de ces détracteurs, comme si nous étions pour eux de vrais enfants illégitimes! », s’est-il indigné.
A la fin de sa publication, qui plaide en faveur des membres du Comité technique et scientifique, et désapprouve les critiques infondées, le Professeur a appelé à cesser les surenchères superflues, expliquant que ledit comité travaille en bénévolat et qu’il ne percevra aucune contrepartie de son travail.
Rappelons-le, le Comité scientifique est, depuis le 21 octobre, la cible de nombreuses critiques faites par une partie de la société civile, notamment concernant les effets secondaires du vaccin anti-Covid-19 et les décisions prises sur recommandations dudit Comité, dont l’imposition du pass vaccinal pour l’accès aux administrations et aux lieux publics.
Le Professeur Azeddine Ibrahimi, directeur du laboratoire de biotechnologie de la Faculté de médecine et de pharmacie de Rabat et membre du Comité technique et scientifique, s’est engagé, via sa page officielle Facebook, à éclairer l’opinion publique sur certains points importants en la matière. Le praticien s’est adressé, dimanche 7 novembre, aux acteurs de la société civile qui ne ménagent pas leurs efforts pour s’attaquer aux membres du Comité technique et scientifique.
Au nom de tous ses confrères et collègues, membres du Comité technique et scientifique, Ibrahimi a précisé qu’ils étaient tous présents avec le citoyen et qu’ils le sont toujours, qu’ils ont partagé avec lui leurs connaissances scientifiques, leurs craintes et leur optimisme et qu’ils ont tout donné et fait des sacrifices dans une totale mobilisation bénévole, afin que soient garantis aux Marocains leurs droits, dont le plus important est le droit à la vie et à l’information.
Pendant ce temps, ces « acteurs de la société civile et ces icônes émettaient des doutes sur le virus, son origine, la maladie, la pandémie, son existence et ses effets. Ils doutaient aussi des recherches du vaccin avant sa production, comme de la campagne de vaccination. Et nous avons réussi à organiser celle-ci sans réaction positive ni encouragement de la part de ces détracteurs, comme si nous étions pour eux de vrais enfants illégitimes! », s’est-il indigné.
A la fin de sa publication, qui plaide en faveur des membres du Comité technique et scientifique, et désapprouve les critiques infondées, le Professeur a appelé à cesser les surenchères superflues, expliquant que ledit comité travaille en bénévolat et qu’il ne percevra aucune contrepartie de son travail.
Achraf EL OUAD
Repères
Les manifestations se succèdent
Devant le Parlement à Rabat, une dizaine de manifestants se sont rassemblés, dimanche, appelant à l’annulation de cette décision. « Non au pass vaccinal», ont-ils scandé avant que les forces de l’ordre n’interviennent et dispersent la foule. Les manifestants ont ainsi demandé de mettre fin à l’utilisation du pass vaccinal, rejetant les démarches du gouvernement dans ce sens, et soulignant le droit de choisir entre la vaccination et l’abstention sur le plan juridique et moral.
Le CAPM rassure aussi
Sur la page Facebook officielle du ministère de la Santé et de la Protection sociale, la directrice du Centre antipoison et de pharmacovigilance du Maroc (CAPM), Rachida Soulaymani Bencheikh, a révélé que depuis le lancement de l’opération de vaccination jusqu’à présent, 35.000 cas d’effets indésirables des vaccins Covid ont été notifiés au CAPM. Parmi ces cas, 99,5% ont présenté des complications extrêmement légères. Selon la directrice du CAPM, il s’agit d’effets secondaires légers qui disparaissent au bout d’un ou deux jours (fièvre, rougeur sur le point d’injection, fatigue, vertige…).