À la différence de ce que laissent entendre une vague de rumeurs virales sur les réseaux sociaux, la viande ovine n’est pas contaminée par des substances dangereuses et peut être consommée sans risque sanitaire. Dans une mise au point diffusée mercredi, l'Office national de la sécurité sanitaire et alimentaire (ONSSA) a rassuré les consommateurs sur la santé du cheptel national et des produits d’origine animale, réfutant la présence de toute substance dangereuse nuisible.
Cette conclusion a été rendue sur la base d’un contrôle quotidien strict de la sécurité sanitaire des viandes à toutes les étapes, depuis l’élevage jusqu’à l'abattage et sa mise en marché, sous la supervision des inspecteurs vétérinaires.
L’ONSSA a souligné que la santé du bétail est scrupuleusement suivie tout au long de l’année par ses services vétérinaires, en collaboration avec les vétérinaires privés et les autorités locales, afin de détecter et de prévenir les éventuels dangers pour la santé publique dus à la présence de pathogènes d'origine alimentaire ou de contaminants chimiques dans la viande.
Concernant les médicaments vétérinaires, leur prescription et leur utilisation sont strictement réservées aux vétérinaires, suite à un diagnostic précis. Quant aux vaccins utilisés, l’ONSSA rassure qu'ils sont sans danger pour l'homme, l'animal et l'environnement, et n'affectent en aucun cas la qualité de la viande mise à la disposition du consommateur sur le marché.
Veille active sur la qualité et la sécurité de la viande
Les antibiotiques, quant à eux, ne sont administrés qu'en cas de nécessité médicale, et non à des fins préventives, rassure l’ONSSA. Il a également rappelé qu'un programme national de surveillance des résidus de médicaments, incluant les antibiotiques, est mis en place chaque année, garantissant l'absence de résidus dans la viande destinée à la consommation.
Les rumeurs concernant la qualité et la sécurité de la viande rouge ne datent pas d’aujourd’hui. La viande bovine importée pour renforcer l’approvisionnement du marché face à la régression de l’effectif du cheptel national a été visée par une vague de rumeurs, notamment en raison de son prix relativement accessible par rapport à la viande marocaine.
Cela a alimenté la réticence des consommateurs vis-à-vis de la viande importée, malgré les assurances des professionnels sur la demande importante pour cet aliment. Selon une récente enquête du groupe spécialisé en études de marché, Sunergia, parmi les Marocains qui ignorent que le Maroc importe de la viande rouge, 70 % déclarent qu’ils ne seraient pas disposés à consommer de la viande importée (dont 67 % la refusent catégoriquement), contre seulement 31 % qui se disent prêts à en consommer (dont 17 % certainement).
Cette conclusion a été rendue sur la base d’un contrôle quotidien strict de la sécurité sanitaire des viandes à toutes les étapes, depuis l’élevage jusqu’à l'abattage et sa mise en marché, sous la supervision des inspecteurs vétérinaires.
L’ONSSA a souligné que la santé du bétail est scrupuleusement suivie tout au long de l’année par ses services vétérinaires, en collaboration avec les vétérinaires privés et les autorités locales, afin de détecter et de prévenir les éventuels dangers pour la santé publique dus à la présence de pathogènes d'origine alimentaire ou de contaminants chimiques dans la viande.
Concernant les médicaments vétérinaires, leur prescription et leur utilisation sont strictement réservées aux vétérinaires, suite à un diagnostic précis. Quant aux vaccins utilisés, l’ONSSA rassure qu'ils sont sans danger pour l'homme, l'animal et l'environnement, et n'affectent en aucun cas la qualité de la viande mise à la disposition du consommateur sur le marché.
Veille active sur la qualité et la sécurité de la viande
Les antibiotiques, quant à eux, ne sont administrés qu'en cas de nécessité médicale, et non à des fins préventives, rassure l’ONSSA. Il a également rappelé qu'un programme national de surveillance des résidus de médicaments, incluant les antibiotiques, est mis en place chaque année, garantissant l'absence de résidus dans la viande destinée à la consommation.
Les rumeurs concernant la qualité et la sécurité de la viande rouge ne datent pas d’aujourd’hui. La viande bovine importée pour renforcer l’approvisionnement du marché face à la régression de l’effectif du cheptel national a été visée par une vague de rumeurs, notamment en raison de son prix relativement accessible par rapport à la viande marocaine.
Cela a alimenté la réticence des consommateurs vis-à-vis de la viande importée, malgré les assurances des professionnels sur la demande importante pour cet aliment. Selon une récente enquête du groupe spécialisé en études de marché, Sunergia, parmi les Marocains qui ignorent que le Maroc importe de la viande rouge, 70 % déclarent qu’ils ne seraient pas disposés à consommer de la viande importée (dont 67 % la refusent catégoriquement), contre seulement 31 % qui se disent prêts à en consommer (dont 17 % certainement).