Le grand afflux de patients qu'ont connu les hôpitaux, les vaccinodromes, et les différents établissements médicaux durant la pandémie est à l'origine des agressions qui surviennent et qui se sont accrus dernièrement, en raison de la lourde charge de travail des infirmières et des médecins et de leur incapacité à répondre aux besoins de chacun.
De l'insulte à la violence physique, plusieurs cas ont été enregistrés. Notamment, le dernier cas d'une aide-soignante qui a été violemment agressée, ce vendredi, à l’hôpital Hassan II de Dakhla par le fils d’un patient atteint de Covid-19 auquel elle aurait refusé d’entrer dans la chambre où son père était hospitalisé.
Les auteurs de ces agressions sont souvent les patients ou les personnes qui les accompagnent, tandis que les victimes sont principalement le personnel travaillant dans les services d'urgence. Ces actions « s'apparentent parfois à de la violence verbale et à des préjudices physiques à leur égard. Ce sont des actions injustifiées et inacceptables et qui vont à l'encontre de la loi, quelles que soient leurs motivations et leurs raisons », indique une circulaire du Ministère de la Santé et de la Protection Sociale, publiée ce mardi 26 octobre, soulignant qu'il s'agit d'une violation du respect dû aux professionnels de la santé et de la reconnaissance du rôle qui leur est confié et des énormes sacrifices qu'ils font.
Outre les poursuites judiciaires à l'encontre des agresseurs, le Ministère a appelé à la mise en place des mécanismes d'intervention d'urgence, afin d'assurer la protection immédiate des employés victimes de ces actes et de préserver la sécurité du reste des professionnels et des patients et accompagnateurs présents dans l'établissement où l'abus s'est produit.
De l'insulte à la violence physique, plusieurs cas ont été enregistrés. Notamment, le dernier cas d'une aide-soignante qui a été violemment agressée, ce vendredi, à l’hôpital Hassan II de Dakhla par le fils d’un patient atteint de Covid-19 auquel elle aurait refusé d’entrer dans la chambre où son père était hospitalisé.
Les auteurs de ces agressions sont souvent les patients ou les personnes qui les accompagnent, tandis que les victimes sont principalement le personnel travaillant dans les services d'urgence. Ces actions « s'apparentent parfois à de la violence verbale et à des préjudices physiques à leur égard. Ce sont des actions injustifiées et inacceptables et qui vont à l'encontre de la loi, quelles que soient leurs motivations et leurs raisons », indique une circulaire du Ministère de la Santé et de la Protection Sociale, publiée ce mardi 26 octobre, soulignant qu'il s'agit d'une violation du respect dû aux professionnels de la santé et de la reconnaissance du rôle qui leur est confié et des énormes sacrifices qu'ils font.
Outre les poursuites judiciaires à l'encontre des agresseurs, le Ministère a appelé à la mise en place des mécanismes d'intervention d'urgence, afin d'assurer la protection immédiate des employés victimes de ces actes et de préserver la sécurité du reste des professionnels et des patients et accompagnateurs présents dans l'établissement où l'abus s'est produit.