Le ministère l’Équipement, du transport, a en effet mis en place un cahier des charges concernant les risques de la propagation de la Covid-19, relatif aux entreprises et aux exploitants des services du transport et leurs employés.
Ce dernier (qui est téléchargeable sur www.equipement.gov.ma), indique qu’un certain nombre de mesures devront être respectées par les entreprises concernées. Ainsi, le ministère indique qu’il faut «parapher» l’ensemble des pages du cahier des charges relatif aux entreprises du transport routier public de personnes, et de signer la dernière page par le représentant juridique de l’entreprise ou le responsable de l’exploitation précédé par la mention «lu, ratifié et je m’engage à respecter les clauses du cahier des charges».
Ce document va, de ce fait, constituer une autorisation exceptionnelle pour la reprise de l’activité du transport mixte et la continuité de l’activité du transport de personnels dans les zones susmentionnées, dont il est autorisé de se déplacer, précise-t-on de même source.
Il doit être disponible à bord du véhicule pour le contrôle, insiste le département. La capacité du véhicule devra, elle, être limitée à 50%. Un numéro (4646) a aussi été mis en place pour répondre aux questions ou pour déposer des plaintes concernant les violations observées.
Ce dernier (qui est téléchargeable sur www.equipement.gov.ma), indique qu’un certain nombre de mesures devront être respectées par les entreprises concernées. Ainsi, le ministère indique qu’il faut «parapher» l’ensemble des pages du cahier des charges relatif aux entreprises du transport routier public de personnes, et de signer la dernière page par le représentant juridique de l’entreprise ou le responsable de l’exploitation précédé par la mention «lu, ratifié et je m’engage à respecter les clauses du cahier des charges».
Ce document va, de ce fait, constituer une autorisation exceptionnelle pour la reprise de l’activité du transport mixte et la continuité de l’activité du transport de personnels dans les zones susmentionnées, dont il est autorisé de se déplacer, précise-t-on de même source.
Il doit être disponible à bord du véhicule pour le contrôle, insiste le département. La capacité du véhicule devra, elle, être limitée à 50%. Un numéro (4646) a aussi été mis en place pour répondre aux questions ou pour déposer des plaintes concernant les violations observées.