Sans carte de séjour, la séparatiste du Polisario, Aminatou Haidar, séjourne illégalement sur le sol espagnol depuis novembre dernier. Pour cause, le pays a refusé de lui accorder un nouveau permis de séjour. Un titre qu’elle avait eu pendant 16 ans et qui lui donnait accès aux soins médicaux. .
Frustrée, l’avocate de « l’activiste » séparatiste a qualifié la décision de « politique », annonçant son intention de saisir la justice. Quelques jours après, le gouvernement a réagi implicitement à cette affaire, justifiant tout refus par le non-respect de la procédure légale en vigueur.
« La délégation du gouvernement tient à respecter la loi. Si une requête ne respecte pas la procédure en vigueur, alors il n’y a pas d’autre issue que de la refuser », a expliqué le délégué du gouvernement à Madrid, Francisco Martín dans des déclarations rapportées par la presse espagnole.
De leur côté, les spécialistes expliquent le refus de renouvellement de la carte de séjour de la séparatiste par le non-respect par cette dernière des conditions de résidence en Espagne, depuis 2020.
À cela s’ajoutent ses activités politiques clandestines qui vont à l’encontre de la loi dans le pays, en plus d’avoir peu séjourné en Espagne depuis trois ans, alors que le permis de séjour espagnol impose de respecter une durée minimum de séjour sur le territoire national.
Frustrée, l’avocate de « l’activiste » séparatiste a qualifié la décision de « politique », annonçant son intention de saisir la justice. Quelques jours après, le gouvernement a réagi implicitement à cette affaire, justifiant tout refus par le non-respect de la procédure légale en vigueur.
« La délégation du gouvernement tient à respecter la loi. Si une requête ne respecte pas la procédure en vigueur, alors il n’y a pas d’autre issue que de la refuser », a expliqué le délégué du gouvernement à Madrid, Francisco Martín dans des déclarations rapportées par la presse espagnole.
De leur côté, les spécialistes expliquent le refus de renouvellement de la carte de séjour de la séparatiste par le non-respect par cette dernière des conditions de résidence en Espagne, depuis 2020.
À cela s’ajoutent ses activités politiques clandestines qui vont à l’encontre de la loi dans le pays, en plus d’avoir peu séjourné en Espagne depuis trois ans, alors que le permis de séjour espagnol impose de respecter une durée minimum de séjour sur le territoire national.