Dans un communiqué, le groupe parlementaire de Vox a pointé du doigt le caractère « intolérable » de cette exposition, accusant le Front séparatiste d'avoir été responsable de la mort de près de 300 Espagnols lors de fusillades massives, d'enlèvements et de disparitions entre 1973 et 1986. Selon eux, cette période a été marquée par une campagne de terreur menée contre l'Espagne et ses intérêts dans la région du Sahara .
Leticia Díaz, porte-parole du groupe parlementaire, a exprimé son indignation face aux images présentées dans les locaux du Parlement, qualifiant de « scandaleux » le fait de voir des « terroristes pointer leurs armes sur ses compatriotes ». Elle a également rappelé les actes de violence perpétrés par le Front Polisario, soulignant que ces événements avaient conduit le gouvernement espagnol de l'époque à rompre les relations avec cette organisation terroriste.
Dans un acte de défiance envers l'exposition, Vox a demandé à la présidence du Parlement de Cantabrie de rejeter cette exposition, sous prétexte que les locaux du Parlement ne peuvent pas devenir complices d'une tentative de « blanchiment » des crimes du Polisario. Ils ont également mis en avant le travail de l'Association Canarienne des Victimes du Terrorisme (ACAVITE), qui lutte pour la reconnaissance des victimes du terrorisme causé par ce groupe.
In fine, Vox dénonce avec véhémence toute tentative de révisionnisme ou de négationnisme concernant l'histoire sanglante du Polisario, affirmant que le Parlement de Cantabrie ne doit pas se compromettre en acceptant une exposition qui tente de dépeindre ce groupe sous un jour favorable, alors que des centaines de victimes restent à ce jour non reconnues.
Leticia Díaz, porte-parole du groupe parlementaire, a exprimé son indignation face aux images présentées dans les locaux du Parlement, qualifiant de « scandaleux » le fait de voir des « terroristes pointer leurs armes sur ses compatriotes ». Elle a également rappelé les actes de violence perpétrés par le Front Polisario, soulignant que ces événements avaient conduit le gouvernement espagnol de l'époque à rompre les relations avec cette organisation terroriste.
Dans un acte de défiance envers l'exposition, Vox a demandé à la présidence du Parlement de Cantabrie de rejeter cette exposition, sous prétexte que les locaux du Parlement ne peuvent pas devenir complices d'une tentative de « blanchiment » des crimes du Polisario. Ils ont également mis en avant le travail de l'Association Canarienne des Victimes du Terrorisme (ACAVITE), qui lutte pour la reconnaissance des victimes du terrorisme causé par ce groupe.
In fine, Vox dénonce avec véhémence toute tentative de révisionnisme ou de négationnisme concernant l'histoire sanglante du Polisario, affirmant que le Parlement de Cantabrie ne doit pas se compromettre en acceptant une exposition qui tente de dépeindre ce groupe sous un jour favorable, alors que des centaines de victimes restent à ce jour non reconnues.