Ayant disputé son dernier match sous les couleurs du Barça le 6 juin 2015 en entrant en jeu lors de la finale de la ligue des champions face à la Juventus, l’ex numéro 6 a pris la direction d'Al Sadd, au Qatar, où il a fini sa carrière de joueur avant d'entamer, en 2019, une nouvelle expérience d’entraîneur. Après deux années à la tête du club qatarien, il a déjà remporté sept trophées, dont le championnat, la coupe nationale et la Supercoupe du Qatar. Attendu depuis des années, Xavi semble plus proche que jamais du staff technique catalan.
« Nous avons accepté le transfert de Xavi à Barcelone après le paiement de la clause de pénalité stipulée dans son contrat. Xavi est une partie importante de l'Histoire d'Al Sadd. Nous lui souhaitons plein succès pour la prochaine étape » , peut-on lire sur une publication sur les réseaux sociaux du club de Doha.
En fait, le Barça déboursera 5 millions d'euros pour son ancien milieu de terrain. Xavi fait donc son grand retour au bercail pour prendre la succession de Ronald Koeman, licencié après le mauvais début de saison du Barça, actuellement 9ème en Liga. « La position du club est claire depuis le début : nous nous engageons à garder notre entraîneur Xavi et nous ne pouvons pas le laisser partir à ce moment important de la saison », a affirmé le club qatari, mercredi.
Considéré comme l’une des pierres angulaires de la ‘’tiki-taka’’, instauré par Johan Cruyff et raffiné par ‘’le philosophe’’ Pep Guardiola, style de jeu qui se base sur la conservation de la balle et des passes courtes au large de la pelouse, l’international espagnol a réussi à installer au Qatar ce principe de jeu qui lui est cher.
« Je ne le cache pas, et je l'ai toujours dit, mon objectif principal, quand ce serait possible, c'est le Barça. C'est ma maison, et ce serait un rêve », avait confié Xavi dans une interview au quotidien Marca, en juillet 2020. Quant au président du FCB, Joan Laporta, il a récemment précisé que « j'ai toujours dit que Xavi finirait un jour par être entraîneur du Barça. Mieux: j'aimerais qu'il soit l'entraîneur du Barça sous ma présidence ».
Certes le rêve de Xavi et d’une bonne partie des Barcelonistas est en train de se réaliser. Toutefois, l’horizon semble plus ou moins étriqué et les obstacles sont nombreux. Crise financière étouffante, vestiaire de moins en moins soudé et effectif qui n’est point à la hauteur des attentes. Ceci dit, le plus grand défi que Xavi doive relever est de construire une équipe capable de faire oublier aux supporters un ex numéro 10, l’irremplaçable Leo !
« Nous avons accepté le transfert de Xavi à Barcelone après le paiement de la clause de pénalité stipulée dans son contrat. Xavi est une partie importante de l'Histoire d'Al Sadd. Nous lui souhaitons plein succès pour la prochaine étape » , peut-on lire sur une publication sur les réseaux sociaux du club de Doha.
En fait, le Barça déboursera 5 millions d'euros pour son ancien milieu de terrain. Xavi fait donc son grand retour au bercail pour prendre la succession de Ronald Koeman, licencié après le mauvais début de saison du Barça, actuellement 9ème en Liga. « La position du club est claire depuis le début : nous nous engageons à garder notre entraîneur Xavi et nous ne pouvons pas le laisser partir à ce moment important de la saison », a affirmé le club qatari, mercredi.
Considéré comme l’une des pierres angulaires de la ‘’tiki-taka’’, instauré par Johan Cruyff et raffiné par ‘’le philosophe’’ Pep Guardiola, style de jeu qui se base sur la conservation de la balle et des passes courtes au large de la pelouse, l’international espagnol a réussi à installer au Qatar ce principe de jeu qui lui est cher.
« Je ne le cache pas, et je l'ai toujours dit, mon objectif principal, quand ce serait possible, c'est le Barça. C'est ma maison, et ce serait un rêve », avait confié Xavi dans une interview au quotidien Marca, en juillet 2020. Quant au président du FCB, Joan Laporta, il a récemment précisé que « j'ai toujours dit que Xavi finirait un jour par être entraîneur du Barça. Mieux: j'aimerais qu'il soit l'entraîneur du Barça sous ma présidence ».
Certes le rêve de Xavi et d’une bonne partie des Barcelonistas est en train de se réaliser. Toutefois, l’horizon semble plus ou moins étriqué et les obstacles sont nombreux. Crise financière étouffante, vestiaire de moins en moins soudé et effectif qui n’est point à la hauteur des attentes. Ceci dit, le plus grand défi que Xavi doive relever est de construire une équipe capable de faire oublier aux supporters un ex numéro 10, l’irremplaçable Leo !
