Selon les documents de planification publiés sur le site web des gestionnaires de réseaux de transport d’électricité européens, le projet comporte désormais une option allemande similaire, selon des médias britanniques.
Cette possibilité pourrait faire pression sur les autorités britanniques pour qu’elles soutiennent le projet, qui pourrait s’avérer essentiel pour atteindre les objectifs du pays en matière de consommation nette zéro.
Xlinks pourrait alimenter les deux pays en énergie renouvelable, se contenter d’une connexion avec le Royaume-Uni ou se connecter uniquement à l’Allemagne, bien que cette dernière option ne soit qu’une lointaine possibilité, selon le directeur général Simon Morrish, qui prévoit de fournir plus de détails dans les semaines à venir. «Nous étudions les différentes options», a déclaré M. Morrish. « Tout est possible ».
Un porte-parole de Xlinks a ajouté que l’entreprise se concentrait à 100 % sur le marché britannique, mais qu’elle envisageait également d’autres liens avec des marchés tels que l’Allemagne. D’autres liaisons potentielles viendraient s’ajouter à l’itinéraire britannique, a précisé le porte-parole. Des conditions ensoleillées et venteuses constantes au Maroc compléteraient la flotte croissante de parcs éoliens offshore du Royaume-Uni.
L’électricité serait acheminée par des câbles sous-marins de 3 800 km qui longeraient la côte Ouest de l’Ibérie et de la France avant de traverser la Manche et de débarquer dans le Devon, dans le Sud-Ouest de l’Angleterre.
Bien qu’il en soit encore au stade de la planification, le projet a attiré des millions de livres sterling d’investissements de la part de grandes entreprises, dont la société française TotalEnergies, Abu Dhabi National Energy Co. et Octopus Energy Group.
L’ancien patron de Tesco, Dave Lewis, est le président exécutif de la société. Dans la version allemande du projet, Xlinks prévoit de ne pas modifier l’aspect de la production au Maroc, selon la même source.
Ce mardi, Xlinks vient de démentir cette hypothèse et précise qu'elle n'a aucune intention de mettre fin à son projet Maroc – Royaume-Uni. La société précise qu'il s'agit des propos qu'elle réfute, tout en assurant que la version initiale du projet est maintenue et explique que l’Allemagne est un autre marché qui pourrait s’ajouter à celui du Royaume-Uni.
L’énergie solaire, l’énergie éolienne et les batteries produiraient quelque 26 térawattheures d’électricité, acheminés par des câbles sous-marins. Ceux-ci se connecteraient au réseau allemand exploité par Tennet Holding, selon le document d’Entso-e.
Cette possibilité pourrait faire pression sur les autorités britanniques pour qu’elles soutiennent le projet, qui pourrait s’avérer essentiel pour atteindre les objectifs du pays en matière de consommation nette zéro.
Xlinks pourrait alimenter les deux pays en énergie renouvelable, se contenter d’une connexion avec le Royaume-Uni ou se connecter uniquement à l’Allemagne, bien que cette dernière option ne soit qu’une lointaine possibilité, selon le directeur général Simon Morrish, qui prévoit de fournir plus de détails dans les semaines à venir. «Nous étudions les différentes options», a déclaré M. Morrish. « Tout est possible ».
Un porte-parole de Xlinks a ajouté que l’entreprise se concentrait à 100 % sur le marché britannique, mais qu’elle envisageait également d’autres liens avec des marchés tels que l’Allemagne. D’autres liaisons potentielles viendraient s’ajouter à l’itinéraire britannique, a précisé le porte-parole. Des conditions ensoleillées et venteuses constantes au Maroc compléteraient la flotte croissante de parcs éoliens offshore du Royaume-Uni.
L’électricité serait acheminée par des câbles sous-marins de 3 800 km qui longeraient la côte Ouest de l’Ibérie et de la France avant de traverser la Manche et de débarquer dans le Devon, dans le Sud-Ouest de l’Angleterre.
Bien qu’il en soit encore au stade de la planification, le projet a attiré des millions de livres sterling d’investissements de la part de grandes entreprises, dont la société française TotalEnergies, Abu Dhabi National Energy Co. et Octopus Energy Group.
L’ancien patron de Tesco, Dave Lewis, est le président exécutif de la société. Dans la version allemande du projet, Xlinks prévoit de ne pas modifier l’aspect de la production au Maroc, selon la même source.
Ce mardi, Xlinks vient de démentir cette hypothèse et précise qu'elle n'a aucune intention de mettre fin à son projet Maroc – Royaume-Uni. La société précise qu'il s'agit des propos qu'elle réfute, tout en assurant que la version initiale du projet est maintenue et explique que l’Allemagne est un autre marché qui pourrait s’ajouter à celui du Royaume-Uni.
L’énergie solaire, l’énergie éolienne et les batteries produiraient quelque 26 térawattheures d’électricité, acheminés par des câbles sous-marins. Ceux-ci se connecteraient au réseau allemand exploité par Tennet Holding, selon le document d’Entso-e.