Moujahid a expliqué, lors d'une réunion consultative tenue par Mohamed Mehdi Bensaïd, ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, avec les instances professionnelles les plus représentatives dans le domaine de la presse et des médias, que les ventes moyennes quotidiennes des journaux nationaux au cours des trois premiers mois de 2020 s’élevaient à environ 76 000 exemplaires. Ces ventes ont connu toutefois une grande diminution ensuite jusqu'à atteindre à la fin de l’année 38 000 exemplaires, soulignant que cette baisse se poursuit à ce jour.
Le président du Conseil national de la presse a indiqué que la crise ne concerne pas seulement le secteur du papier mais également la presse électronique, surtout avec la crise du secteur publicitaire.
Selon les données fournies par Moujahid, 32% des annonceurs se sont tournés vers la communication digitale en priorité en 2020, et 92% d'entre eux se sont tournés vers les géants du numérique « Java ».
Moujahid a précisé que la crise des entreprises de presse, un secteur déjà confronté à une réalité jonchée de dilemmes accumulés au fil du temps, a commencé il y’a plus de 8 ans. Moujahid a cité à titre d’exemple le faible taux de lecture au Maroc, les coûts de production et de distribution élevés, et une baisse des ventes et des recettes publicitaires.
D’ailleurs, selon les données obtenues par le Conseil national de la presse à travers les demandes de carte professionnelle, Moujahid a annoncé que le nombre des entreprises de presse a atteint 731, dont 447 électroniques et 284 papier, qu'ils soient nationaux ou régionaux.
Plus de 53% des journaux emploient moins de 5 journalistes, et plus de 28% d'entre eux emploient un journaliste qui est à la fois directeur de publication, rédacteur en chef et journaliste.
Quant à la presse électronique, 86 % de ses entreprises emploient moins de cinq journalistes et environ 47% emploient une personne qui est au même temps journaliste, directeur de la publication, rédacteur en chef et propriétaire du projet.
Le président du Conseil national de la presse a indiqué que la crise ne concerne pas seulement le secteur du papier mais également la presse électronique, surtout avec la crise du secteur publicitaire.
Selon les données fournies par Moujahid, 32% des annonceurs se sont tournés vers la communication digitale en priorité en 2020, et 92% d'entre eux se sont tournés vers les géants du numérique « Java ».
Moujahid a précisé que la crise des entreprises de presse, un secteur déjà confronté à une réalité jonchée de dilemmes accumulés au fil du temps, a commencé il y’a plus de 8 ans. Moujahid a cité à titre d’exemple le faible taux de lecture au Maroc, les coûts de production et de distribution élevés, et une baisse des ventes et des recettes publicitaires.
D’ailleurs, selon les données obtenues par le Conseil national de la presse à travers les demandes de carte professionnelle, Moujahid a annoncé que le nombre des entreprises de presse a atteint 731, dont 447 électroniques et 284 papier, qu'ils soient nationaux ou régionaux.
Plus de 53% des journaux emploient moins de 5 journalistes, et plus de 28% d'entre eux emploient un journaliste qui est à la fois directeur de publication, rédacteur en chef et journaliste.
Quant à la presse électronique, 86 % de ses entreprises emploient moins de cinq journalistes et environ 47% emploient une personne qui est au même temps journaliste, directeur de la publication, rédacteur en chef et propriétaire du projet.