Le jardin zoologique de Rabat s’est récemment doté de caméra immersive avec pour objectif de permettre au public, précisément les amateurs des animaux sauvages de bénéficier d’un accès en temps réel à la vie qu’ils mènent au quotidien, ainsi que leurs comportements en milieu sauvage, sans même avoir besoin de quitter leurs domiciles. Cette nouvelle technologie de «caméra-live», qui se veut novatrice, a été lancée par le Haut commissaire aux eaux et forêts et à la lutte contre la désertification, le président directeur général du Jardin zoologique de Rabat, Abdeladim Lhafi et l’ambassadeur de Hongrie au Maroc, Mikos Tromler. «Ce projet vise essentiellement à créer une expérience immersive et un contenu exclusif pour les visiteurs du zoo, ainsi que pour la communauté d’internautes active», peut-on lire dans un communiqué. Selon la communication du zoo de Rabat, «le parc n’a fait que la préparation des matériaux nécessaires pour assurer le bon fonctionnement de ce service», tout en précisant que le financement revient à l’ambassade précitée qui, en collaboration avec la société hongroise Web Garden, spécialisée dans la mise en place et la gestion des solutions web, équipements de qualité et caméras dernières technologies, s’est occupée de l’installation de caméras IP connectées à Internet permettant de donner naissance à ce projet.
Un projet adapté à la crise
Compte tenu de la conjoncture actuelle, le chargé de communication a indiqué que «ce projet, inauguré le mardi 20 octobre, est d’ores et déjà accessible sur le site du parc «rabatzoo.ma»», soulignant que «malgré le fait qu’il réponde certainement aux attentes du public qui se voient contraints de faire des activités par peur et inquiétude de choper le Coronavirus, ce service ne sera pas limité uniquement à cette période exceptionnelle, mais sera maintenu pour les années à venir». Il mettra, par ailleurs, en évidence de nombreuses espèces de la savane, des lions de l’Atlas, des girafes et des pélicans, des singes magots etc.
Ainsi, Rabat Zoo a affirmé que «les caméras seront installées dans les cinq bio zones du parc pour présenter une simulation du relief de l’écosystème du Moyen Atlas», et ce, dans le but d’offrir au public un véritable tour de la biodiversité animale.
Cela leur donnera également la possibilité de découvrir une quarantaine d’écosystèmes naturels abritant diverses espèces végétales et animales dont plusieurs sont endémiques.
In fine, la même source a noté qu’avec l’émergence des nouvelles technologies, cette initiative permettra de fournir un service virtuel adéquat aux attentes des personnes adeptes du monde animalier.
Périple d’un lion de l’Atlas
Un projet adapté à la crise
Compte tenu de la conjoncture actuelle, le chargé de communication a indiqué que «ce projet, inauguré le mardi 20 octobre, est d’ores et déjà accessible sur le site du parc «rabatzoo.ma»», soulignant que «malgré le fait qu’il réponde certainement aux attentes du public qui se voient contraints de faire des activités par peur et inquiétude de choper le Coronavirus, ce service ne sera pas limité uniquement à cette période exceptionnelle, mais sera maintenu pour les années à venir». Il mettra, par ailleurs, en évidence de nombreuses espèces de la savane, des lions de l’Atlas, des girafes et des pélicans, des singes magots etc.
Ainsi, Rabat Zoo a affirmé que «les caméras seront installées dans les cinq bio zones du parc pour présenter une simulation du relief de l’écosystème du Moyen Atlas», et ce, dans le but d’offrir au public un véritable tour de la biodiversité animale.
Cela leur donnera également la possibilité de découvrir une quarantaine d’écosystèmes naturels abritant diverses espèces végétales et animales dont plusieurs sont endémiques.
In fine, la même source a noté qu’avec l’émergence des nouvelles technologies, cette initiative permettra de fournir un service virtuel adéquat aux attentes des personnes adeptes du monde animalier.
Périple d’un lion de l’Atlas
Dans le cadre d’un partenariat international entre parcs zoologiques, le zoo de Paris a accueilli un lion de l’Atlas issu du jardin zoologique de Rabat. Appelé Volcan, ce félin de 9 ans a quitté le territoire marocain, en novembre dernier, pour s’installer définitivement à Paris. Là, où il aura pour principale mission d’assurer la cohésion du groupe de lions du zoo, constitué de trois femelles et un jeune lionceau. Le lion de l’Atlas, en effet, avait été repéré au Maroc par les équipes vétérinaires parisiennes, alors qu’elles effectuaient des soins sur un éléphant du zoo de Rabat. Après un an et demi d’attente, un périple de près de trois jours a été entamé pour transporter le lion de 214 kg.
Siham MDIJI