La 3ème édition a réuni des écrivains, des artistes, penseurs et intellectuels des quatre coins de l'Afrique en présence de plusieurs représentants de la diaspora africaine en France et dans l’espace afro-caribéen.
C’est ce qu'a souligné Maboula Soumahoro, spécialiste dans les études afro-américaines et membre de la diaspora ivoirienne en France. « Je pense que le FLAM parvient à créer peu à peu un espace de discussion, de réflexion, et de rencontre en faisant le lien entre tous les Africains sans oublier la diaspora dont je vais partie », a -t-elle précisé dans une déclaration à L’Opinion.
En plus d’être un espace d’échange entre intellectuels, le Festival est aussi l’occasion d'associer la jeunesse à littérature africaine. Les « petits-déjeuners littéraires » ont rassemblé des collégiens, lycéens et étudiants qui ont eu l'occasion de débattre avec des écrivains.
Selon Hanane Essaydi, professeur d'études africaines à l’Université Cadi Ayyad et co-fondatrice du FLAM, ces petits déjeuners ont pour but de rendre accessible les auteurs à leur jeune lectorat.
Parmi ces auteurs en particulier, Myriam Jebbor, dont le dernier roman « La Trahison » a été élu par les lycéens de Marrakech pour un prix littéraire. Celle-ci a pu échanger avec ses lecteurs dans une ambiance conviviale. « Je suis vraiment très touchée que cette jeunesse a choisi mon livre" s'est-elle félicitée, ajoutant : « C’est vraiment une grande joie pour moi de voir la jeunesse s’intéresser à la littérature.
Les activités de cette troisième édition du FLAM se poursuivront jusqu’au 2 février. D’autres éditions sont programmées pour les années à venir. « Plus que jamais, nous avons besoin de telles rencontres », a indiqué Ali Benmakhlouf, professeur de philosophie à l’UM6P, en sa qualité d’ambassadeur du festival.
C’est ce qu'a souligné Maboula Soumahoro, spécialiste dans les études afro-américaines et membre de la diaspora ivoirienne en France. « Je pense que le FLAM parvient à créer peu à peu un espace de discussion, de réflexion, et de rencontre en faisant le lien entre tous les Africains sans oublier la diaspora dont je vais partie », a -t-elle précisé dans une déclaration à L’Opinion.
En plus d’être un espace d’échange entre intellectuels, le Festival est aussi l’occasion d'associer la jeunesse à littérature africaine. Les « petits-déjeuners littéraires » ont rassemblé des collégiens, lycéens et étudiants qui ont eu l'occasion de débattre avec des écrivains.
Selon Hanane Essaydi, professeur d'études africaines à l’Université Cadi Ayyad et co-fondatrice du FLAM, ces petits déjeuners ont pour but de rendre accessible les auteurs à leur jeune lectorat.
Parmi ces auteurs en particulier, Myriam Jebbor, dont le dernier roman « La Trahison » a été élu par les lycéens de Marrakech pour un prix littéraire. Celle-ci a pu échanger avec ses lecteurs dans une ambiance conviviale. « Je suis vraiment très touchée que cette jeunesse a choisi mon livre" s'est-elle félicitée, ajoutant : « C’est vraiment une grande joie pour moi de voir la jeunesse s’intéresser à la littérature.
Les activités de cette troisième édition du FLAM se poursuivront jusqu’au 2 février. D’autres éditions sont programmées pour les années à venir. « Plus que jamais, nous avons besoin de telles rencontres », a indiqué Ali Benmakhlouf, professeur de philosophie à l’UM6P, en sa qualité d’ambassadeur du festival.