La Charte olympique stipule :
"La mission du CIO est de promouvoir l'Olympisme à travers le monde et de diriger le Mouvement olympique. Le rôle du CIO est de (…) s'opposer à toute utilisation abusive politique ou commerciale du sport et des athlètes".
Sauf que le président en exercice de l’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique (ACNOA), l’Algérien Mustapha Berraf, s'apprête à violer ce principe aux dépens du Maroc.
L’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique organise son Assemblée Générale élective le 15 mars 2025 à Alger. L’Algérien, qui préside l’instance olympique continentale, est candidat à sa propre élection.
En marge de cet événement, une cérémonie récompensant les athlètes africains ayant accompli des performances honorant l’Afrique aux Jeux Olympiques de Paris sera organisée : Les African Olympic Awards.
Cette cérémonie sera présidée par le Premier ministre algérien Nadir Larbaoui.
Ce qui est anormale et contraire au principe de l'olympisme est la politisation de l'événement.
Il s’agit de célébrer des athlètes olympiens africains performants à Paris.
Or, la liste dévoilée exclut le Maroc. L'équipe nationale de football, médaillée en bronze, et l'athlète Soufiane El Bakkali, médaillé en or, ne sont ni cités ni invités.
Pire encore, Tarek Sektioui, l'entraîneur de l'équipe nationale olympique marocaine et médaillé de bronze, est remplacé par l'entraîneur de la Côte d’Ivoire vainqueur de la CAN, Emerse Faé.
Par contre, l’Algérien (ne) Imane Khélif, boxeur ou boxeuse puisque son titre discutable continue de faire polémique, est bel et bien présente sur la liste !
Mais le plus révélateur de la partialité et la politisation du choix des nommés aux Awards olympiques est le fait que tous les nominés sont des Olympiens sauf pour le football où un vainqueur de la CAN prend la place d’un médaillé olympique écarté simplement parce qu’il est Marocain!
Les questions à se poser : Sur quelle base les nommés aux Awards ont été sélectionnés ? Qui en est le décideur ?
La réponse est simple: c’est l’Algérien qui qui abuse de son pouvoir de président de l’instance pour faire plaisir à ses dirigeants politiques violant le principe de base de l’Olympisme: la non-politisation du sport olympique !
"La mission du CIO est de promouvoir l'Olympisme à travers le monde et de diriger le Mouvement olympique. Le rôle du CIO est de (…) s'opposer à toute utilisation abusive politique ou commerciale du sport et des athlètes".
Sauf que le président en exercice de l’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique (ACNOA), l’Algérien Mustapha Berraf, s'apprête à violer ce principe aux dépens du Maroc.
L’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique organise son Assemblée Générale élective le 15 mars 2025 à Alger. L’Algérien, qui préside l’instance olympique continentale, est candidat à sa propre élection.
En marge de cet événement, une cérémonie récompensant les athlètes africains ayant accompli des performances honorant l’Afrique aux Jeux Olympiques de Paris sera organisée : Les African Olympic Awards.
Cette cérémonie sera présidée par le Premier ministre algérien Nadir Larbaoui.
Ce qui est anormale et contraire au principe de l'olympisme est la politisation de l'événement.
Il s’agit de célébrer des athlètes olympiens africains performants à Paris.
Or, la liste dévoilée exclut le Maroc. L'équipe nationale de football, médaillée en bronze, et l'athlète Soufiane El Bakkali, médaillé en or, ne sont ni cités ni invités.
Pire encore, Tarek Sektioui, l'entraîneur de l'équipe nationale olympique marocaine et médaillé de bronze, est remplacé par l'entraîneur de la Côte d’Ivoire vainqueur de la CAN, Emerse Faé.
Par contre, l’Algérien (ne) Imane Khélif, boxeur ou boxeuse puisque son titre discutable continue de faire polémique, est bel et bien présente sur la liste !
Mais le plus révélateur de la partialité et la politisation du choix des nommés aux Awards olympiques est le fait que tous les nominés sont des Olympiens sauf pour le football où un vainqueur de la CAN prend la place d’un médaillé olympique écarté simplement parce qu’il est Marocain!
Les questions à se poser : Sur quelle base les nommés aux Awards ont été sélectionnés ? Qui en est le décideur ?
La réponse est simple: c’est l’Algérien qui qui abuse de son pouvoir de président de l’instance pour faire plaisir à ses dirigeants politiques violant le principe de base de l’Olympisme: la non-politisation du sport olympique !