Le parquet du tribunal de première instance de Nador a inculpé 37 migrants pour "entrée illégale sur le sol marocain", "violence contre agents de la force publique", "attroupement armé" et "refus d'obtempérer".
Un autre groupe de 28 immigrés sera également jugé pour "participation à une bande criminelle en vue d'organiser et de faciliter l'immigration clandestine à l'étranger".
En effet, de nouveaux avocats associés à ce procès doivent défendre des migrants, pour la plupart originaires du Darfour, dans l'ouest du Soudan qui souffre d'une grave crise alimentaire et des affrontements intercommunautaires, tandis que d'autres immigrants sont des Tchadiens et des Maliens.
La défense a demandé la libération conditionnelle de tous les accusés, mais le parquet a rejeté cette demande au vu de "la gravité des faits" qui leur sont imputés.
Pour mémoire, au moins 23 migrants en situation irrégulière sont morts et 140 policiers ont été blessés, selon les autorités locales marocaines.
Un autre groupe de 28 immigrés sera également jugé pour "participation à une bande criminelle en vue d'organiser et de faciliter l'immigration clandestine à l'étranger".
En effet, de nouveaux avocats associés à ce procès doivent défendre des migrants, pour la plupart originaires du Darfour, dans l'ouest du Soudan qui souffre d'une grave crise alimentaire et des affrontements intercommunautaires, tandis que d'autres immigrants sont des Tchadiens et des Maliens.
La défense a demandé la libération conditionnelle de tous les accusés, mais le parquet a rejeté cette demande au vu de "la gravité des faits" qui leur sont imputés.
Pour mémoire, au moins 23 migrants en situation irrégulière sont morts et 140 policiers ont été blessés, selon les autorités locales marocaines.