Les autorités marocaines ont arrêté un total de 64 personnes le 24 juin après une tentative d'entrée illégale de 2 000 migrants, qui a fait au moins 23 morts. Selon leurs avocats, les migrants sont poursuivis pour "entrée illégale sur le territoire marocain", "désobéissance" et "comportement violent contre des employés chargés d'appliquer la loi".
La défense, ainsi que le parquet, ont demandé que la procédure soit reportée à une date ultérieure pour les 28 migrants. Cette saisine permettra à la défense de préparer des conclusions. Quant au parquet, il requiert la présence physique au tribunal de 20 policiers plaignants qui allèguent avoir subi des violences de la part des migrants, indique le média français RFI, citant des avocats desdits migrants accusés.
L'autre procédure judiciaire qui concerne 36 migrants, poursuivis dans le cadre de la même affaire devant le tribunal de première instance de Nador, a également été reportée au 18 juillet, soit le troisième mandat consécutif.
Là aussi, la défense, absente de la séance, a déclaré avoir besoin de plus de temps pour préparer la plaidoirie.
Pour mémoire, la défense avait demandé la libération conditionnelle de tous les accusés, mais le parquet a rejeté cette demande au vu de "la gravité des faits" qui leur sont imputés.
La défense, ainsi que le parquet, ont demandé que la procédure soit reportée à une date ultérieure pour les 28 migrants. Cette saisine permettra à la défense de préparer des conclusions. Quant au parquet, il requiert la présence physique au tribunal de 20 policiers plaignants qui allèguent avoir subi des violences de la part des migrants, indique le média français RFI, citant des avocats desdits migrants accusés.
L'autre procédure judiciaire qui concerne 36 migrants, poursuivis dans le cadre de la même affaire devant le tribunal de première instance de Nador, a également été reportée au 18 juillet, soit le troisième mandat consécutif.
Là aussi, la défense, absente de la séance, a déclaré avoir besoin de plus de temps pour préparer la plaidoirie.
Pour mémoire, la défense avait demandé la libération conditionnelle de tous les accusés, mais le parquet a rejeté cette demande au vu de "la gravité des faits" qui leur sont imputés.