Le Maroc entre dans une ère décisive pour son système de santé avec la création de la Haute Autorité de la Santé (HAS) et des 12 Directions Régionales de la Santé (DRS).
Ces structures sont et seront les pierres angulaires d’une réforme ambitieuse visant à concrétiser la promesse royale de généralisation de la couverture médicale universelle.
Mais ce chantier ne pourra aboutir sans une implication réelle et active des walis, des élus locaux et du tissu industriel régional.
Ces acteurs, souvent relégués au second plan voir pas suffisamment mobilisés et sensibilisés, doivent devenir des partenaires incontournables dans l’opérationnalisation de cette réforme.
C'est aux acteurs de la santé d’aller vers eux. Il ne faut pas attendre l’inverse. Ils ont peut être d’autres priorités pour lesquelles ils ont été suffisamment informés et briefés.
Les DRS, bras strategiques, opérationnels voir les deux à la fois de la HAS, ne pourront pas, seules, relever les défis régionaux sans un appui solide des autorités locales.
Les walis et gouverneurs, garants du développement territorial, doivent assurer une coordination efficace entre les différents intervenants, publics et privés.
Les élus locaux, quant à eux, ont la responsabilité de défendre les priorités sanitaires de leurs régions, de mobiliser les ressources locales et d’assurer un contrôle de proximité.
Des ponts de communication permanents doivent être mis en place dans ce sens.
Le rôle du tissu industriel est tout aussi vital : qu’il s’agisse de fournir des infrastructures, d’investir dans des solutions technologiques ou de soutenir la formation des professionnels de santé.
Le secteur privé doit être un moteur de cette transformation.
Comment réinventer le partenariat public et privé dans le secteur de la santé ?
Pour sceller cette synergie, une cérémonie nationale présidée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI serais de bonne augure.
Elle marquerait le lancement officiel de cette réforme et fixerait les responsabilités des 12 directions régionales de la santé, tout en les plaçant sous l’œil attentif des walis, élus, industriels et citoyens.
Le message serait clair : le succès de ce projet repose sur une mobilisation collective.
Avec la HAS en stratège et les DRS en stratèges et en exécutants, l’alchimie ne fonctionnera que si les autorités régionales et les acteurs économiques s’alignent sur des objectifs nationaux communs, bien definis, dans une dynamique de partenariat.
La réussite de ce projet ne peut tolérer ni inertie, ni cloisonnement bureaucratique.
Le défi est immense, mais l’opportunité est unique.
Si les 13 acteurs clés – HAS et DRS- ainsi que les partenaires locaux jouent pleinement leur rôle, le Maroc pourrait révolutionner son système de santé, offrant à tous ses citoyens des soins accessibles, équitables et de qualité.
Ces structures sont et seront les pierres angulaires d’une réforme ambitieuse visant à concrétiser la promesse royale de généralisation de la couverture médicale universelle.
Mais ce chantier ne pourra aboutir sans une implication réelle et active des walis, des élus locaux et du tissu industriel régional.
Ces acteurs, souvent relégués au second plan voir pas suffisamment mobilisés et sensibilisés, doivent devenir des partenaires incontournables dans l’opérationnalisation de cette réforme.
C'est aux acteurs de la santé d’aller vers eux. Il ne faut pas attendre l’inverse. Ils ont peut être d’autres priorités pour lesquelles ils ont été suffisamment informés et briefés.
Les DRS, bras strategiques, opérationnels voir les deux à la fois de la HAS, ne pourront pas, seules, relever les défis régionaux sans un appui solide des autorités locales.
Les walis et gouverneurs, garants du développement territorial, doivent assurer une coordination efficace entre les différents intervenants, publics et privés.
Les élus locaux, quant à eux, ont la responsabilité de défendre les priorités sanitaires de leurs régions, de mobiliser les ressources locales et d’assurer un contrôle de proximité.
Des ponts de communication permanents doivent être mis en place dans ce sens.
Le rôle du tissu industriel est tout aussi vital : qu’il s’agisse de fournir des infrastructures, d’investir dans des solutions technologiques ou de soutenir la formation des professionnels de santé.
Le secteur privé doit être un moteur de cette transformation.
Comment réinventer le partenariat public et privé dans le secteur de la santé ?
Pour sceller cette synergie, une cérémonie nationale présidée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI serais de bonne augure.
Elle marquerait le lancement officiel de cette réforme et fixerait les responsabilités des 12 directions régionales de la santé, tout en les plaçant sous l’œil attentif des walis, élus, industriels et citoyens.
Le message serait clair : le succès de ce projet repose sur une mobilisation collective.
Avec la HAS en stratège et les DRS en stratèges et en exécutants, l’alchimie ne fonctionnera que si les autorités régionales et les acteurs économiques s’alignent sur des objectifs nationaux communs, bien definis, dans une dynamique de partenariat.
La réussite de ce projet ne peut tolérer ni inertie, ni cloisonnement bureaucratique.
Le défi est immense, mais l’opportunité est unique.
Si les 13 acteurs clés – HAS et DRS- ainsi que les partenaires locaux jouent pleinement leur rôle, le Maroc pourrait révolutionner son système de santé, offrant à tous ses citoyens des soins accessibles, équitables et de qualité.