« Notre voisin, le Maroc, aura besoin d’environ 5 millions de têtes pour le prochain Aïd Al-Adha. Or, les camions de marchandises qui entrent en Mauritanie repartent à vide alors que nous pourrions y exporter notre bétail », a indiqué le parlementaire.
Le député a également mis en lumière l’importance stratégique du secteur de l’élevage pour l’économie mauritanienne. En 2020, il représentait 10,1 % du PIB, près de 70 % de la valeur ajoutée du secteur rural et employait 10 % de la population active.
« Pourtant, la Mauritanie continue d’importer massivement des produits laitiers et des viandes, engendrant une sortie de devises estimée à 150 millions de dollars » a-t-il souligné. Cette initiative permettrait de multiplier les échanges entre les deux pays, ainsi que valoriser les ressources locales de la mauritanie en réduisant le déficit commercial dans ce secteur.
Le député a également mis en lumière l’importance stratégique du secteur de l’élevage pour l’économie mauritanienne. En 2020, il représentait 10,1 % du PIB, près de 70 % de la valeur ajoutée du secteur rural et employait 10 % de la population active.
« Pourtant, la Mauritanie continue d’importer massivement des produits laitiers et des viandes, engendrant une sortie de devises estimée à 150 millions de dollars » a-t-il souligné. Cette initiative permettrait de multiplier les échanges entre les deux pays, ainsi que valoriser les ressources locales de la mauritanie en réduisant le déficit commercial dans ce secteur.