Une convention a été signée, lundi, à cet effet entre la Chambre française du commerce et d’industrie du Maroc (CFCIM), l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC), le Centre régional d’investissement (CRI) de Casablanca-Settat et la Caisse Centrale de Garantie (CCG).
Le partenariat vise à mettre en place des dispositifs d’appui aux primo-entrepreneurs, y compris les bénéficiaires du programme Intelaka et qui ont déjà bénéficié d’un accompagnement sur la phase pré-création par l’ANAPEC ainsi que par d’autres partenaires.
Le risque de défaillance est particulièrement élevé durant les trois années suivant la création de l’entreprise, d’où l’importance de soutenir les jeunes porteurs de projets, souligne-t-on dans un communiqué.
L’objectif est de les aider à développer leurs compétences entrepreneuriales, de leur apporter toutes les informations utiles (fiscalité, juridique, marchés cibles…) et de leur faciliter l’accès aux réseaux d’affaires, en vue de leur permettre de décrocher leur première commande.
Quinze entrepreneurs de la région bénéficieront de différents programmes: tutorat, networking, apprentissage entre pairs…etc. Ils auront également la possibilité d’être accompagnés par des experts, des mentors et éventuellement des "business angels".
Par la même occasion, la CFCIM a signé une autre convention avec l’Anapec, Lydec, Ingelec, Clemessy Maroc et l’École nationale supérieure de l’électricité et de la mécanique (ENSEM) portant sur un parcours de formation complémentaire pour l’amélioration de l’employabilité les techniciens spécialisés en électricité.
Cette initiative vise à réduire le décalage entre les compétences des demandeurs d’emploi et les besoins concrets des industriels qui peinent à trouver certains profils qualifiés. Elle a donc pour ambition de faciliter l’insertion professionnelle des jeunes tout en permettant aux entreprises de répondre à leurs besoins en compétences les plus critiques.
Dans ce cadre, les partenaires ont convenu de travailler conjointement pour mettre en place un dispositif de formation à la carte en mode alternance, innovant et de courte durée. La phase pilote du projet prévoit de recruter une première promotion de 25 techniciens.
Le partenariat vise à mettre en place des dispositifs d’appui aux primo-entrepreneurs, y compris les bénéficiaires du programme Intelaka et qui ont déjà bénéficié d’un accompagnement sur la phase pré-création par l’ANAPEC ainsi que par d’autres partenaires.
Le risque de défaillance est particulièrement élevé durant les trois années suivant la création de l’entreprise, d’où l’importance de soutenir les jeunes porteurs de projets, souligne-t-on dans un communiqué.
L’objectif est de les aider à développer leurs compétences entrepreneuriales, de leur apporter toutes les informations utiles (fiscalité, juridique, marchés cibles…) et de leur faciliter l’accès aux réseaux d’affaires, en vue de leur permettre de décrocher leur première commande.
Quinze entrepreneurs de la région bénéficieront de différents programmes: tutorat, networking, apprentissage entre pairs…etc. Ils auront également la possibilité d’être accompagnés par des experts, des mentors et éventuellement des "business angels".
Par la même occasion, la CFCIM a signé une autre convention avec l’Anapec, Lydec, Ingelec, Clemessy Maroc et l’École nationale supérieure de l’électricité et de la mécanique (ENSEM) portant sur un parcours de formation complémentaire pour l’amélioration de l’employabilité les techniciens spécialisés en électricité.
Cette initiative vise à réduire le décalage entre les compétences des demandeurs d’emploi et les besoins concrets des industriels qui peinent à trouver certains profils qualifiés. Elle a donc pour ambition de faciliter l’insertion professionnelle des jeunes tout en permettant aux entreprises de répondre à leurs besoins en compétences les plus critiques.
Dans ce cadre, les partenaires ont convenu de travailler conjointement pour mettre en place un dispositif de formation à la carte en mode alternance, innovant et de courte durée. La phase pilote du projet prévoit de recruter une première promotion de 25 techniciens.