Dans un communiqué, l'exécutif européen précise que cette autorisation est subordonnée au respect intégral d'une série d'engagements proposés par Google.
« Alors que certains acteurs du marché, qui estiment que Google affiche déjà une présence significative dans le secteur des services de santé numériques, se sont inquiétés que la multinationale américaine puisse obtenir un avantage concurrentiel sur ce marché en combinant sa base de données avec celle de Fitbit et ce, à tel point que les concurrents ne pourraient plus exercer leur concurrence, l'enquête approfondie de la Commission n'a pas confirmé ces préoccupations », explique la Commission.
Par ailleurs, l'exécutif européen craignait que l'opération d'acquisition, telle que notifiée à l'origine, nuise à la concurrence sur plusieurs marchés, mais pour dissiper ces craintes, Google a proposé plusieurs engagements en matière notamment de publicité, d'accès pour les applications logicielles aux données concernant la santé des utilisateurs, ou encore des fonctionnalités offertes par les interfaces de programmation, ajoute-t-on.
La durée de ces engagements est de dix ans, note la Commission, relevant qu'en raison de la position « solidement établie » de Google sur le marché de la publicité en ligne, la Commission pourra décider de prolonger l'engagement concernant la publicité d'une durée supplémentaire de dix ans maximum, pour autant qu'elle justifie la nécessité d'une telle prolongation.
Google avait annoncé début novembre 2019 le rachat de Fitbit pour 2,1 milliards de dollars. L'acquisition avait été notifiée le 15 juin à la Commission européenne.
« Alors que certains acteurs du marché, qui estiment que Google affiche déjà une présence significative dans le secteur des services de santé numériques, se sont inquiétés que la multinationale américaine puisse obtenir un avantage concurrentiel sur ce marché en combinant sa base de données avec celle de Fitbit et ce, à tel point que les concurrents ne pourraient plus exercer leur concurrence, l'enquête approfondie de la Commission n'a pas confirmé ces préoccupations », explique la Commission.
Par ailleurs, l'exécutif européen craignait que l'opération d'acquisition, telle que notifiée à l'origine, nuise à la concurrence sur plusieurs marchés, mais pour dissiper ces craintes, Google a proposé plusieurs engagements en matière notamment de publicité, d'accès pour les applications logicielles aux données concernant la santé des utilisateurs, ou encore des fonctionnalités offertes par les interfaces de programmation, ajoute-t-on.
La durée de ces engagements est de dix ans, note la Commission, relevant qu'en raison de la position « solidement établie » de Google sur le marché de la publicité en ligne, la Commission pourra décider de prolonger l'engagement concernant la publicité d'une durée supplémentaire de dix ans maximum, pour autant qu'elle justifie la nécessité d'une telle prolongation.
Google avait annoncé début novembre 2019 le rachat de Fitbit pour 2,1 milliards de dollars. L'acquisition avait été notifiée le 15 juin à la Commission européenne.