Il y a 21 ans, bien avant l’actuelle crise mondiale qui plonge la planète dans une ère d’incertitude, le monde vacillait sous l’effet de l’onde de choc planétaire provoquée par les tristement célèbres attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis d’Amérique. Un drame qui a complétement reconfiguré la face du monde et dont les conséquences se font encore ressentir.
Lorsque les avions de ligne s’étaient abattus sur le World Trade Center et le Pentagone, au coeur de la lointaine Amérique, les Marocains se sentaient plus ou moins non concernés par le phénomène du terrorisme qui leur était relativement étranger. Certes, en 1994, notre pays avait subi les affres de la violence armée lors de l’attentat de l’Atlas Asni à Marrakech, mais le terrorisme restait malgré tout confiné dans l’imaginaire populaire à des contrées lointaines situées au Proche-Orient et surtout en Afghanistan.
Aujourd’hui, 21 ans après cet événement historique, ce phénomène qui s’est entre-temps largement mondialisé, semble plus que jamais toquer à notre porte, puisque son épicentre géographique s’est dangereusement rapproché de nos terres pour se situer désormais dans notre voisinage immédiat, en Afrique et précisément au Sahel.
Ce qui appelle une politique et des actions volontaristes et anticipatrices en vue de garantir la sécurité du Royaume, à l’image de la Réunion ministérielle de la Coalition mondiale contre Daech, tenue en mai dernier au Maroc, ou encore la 1ère Réunion ministérielle des États Africains Atlantiques, tenue en juin à Rabat, qui sont venues consacrer la position du Royaume comme acteur majeur dans la lutte contre le terrorisme.
Sur ce registre, et loin de toutes velléités de leadership régional, comme se plaisent à le proférer les adversaires de notre pays, la démarche du Maroc répond à un seul et unique objectif, celui de la prévention des effets d’un conflit qui frappe à nos portes. Une telle vision ne peut être que saluée et encouragée !
Lorsque les avions de ligne s’étaient abattus sur le World Trade Center et le Pentagone, au coeur de la lointaine Amérique, les Marocains se sentaient plus ou moins non concernés par le phénomène du terrorisme qui leur était relativement étranger. Certes, en 1994, notre pays avait subi les affres de la violence armée lors de l’attentat de l’Atlas Asni à Marrakech, mais le terrorisme restait malgré tout confiné dans l’imaginaire populaire à des contrées lointaines situées au Proche-Orient et surtout en Afghanistan.
Aujourd’hui, 21 ans après cet événement historique, ce phénomène qui s’est entre-temps largement mondialisé, semble plus que jamais toquer à notre porte, puisque son épicentre géographique s’est dangereusement rapproché de nos terres pour se situer désormais dans notre voisinage immédiat, en Afrique et précisément au Sahel.
Ce qui appelle une politique et des actions volontaristes et anticipatrices en vue de garantir la sécurité du Royaume, à l’image de la Réunion ministérielle de la Coalition mondiale contre Daech, tenue en mai dernier au Maroc, ou encore la 1ère Réunion ministérielle des États Africains Atlantiques, tenue en juin à Rabat, qui sont venues consacrer la position du Royaume comme acteur majeur dans la lutte contre le terrorisme.
Sur ce registre, et loin de toutes velléités de leadership régional, comme se plaisent à le proférer les adversaires de notre pays, la démarche du Maroc répond à un seul et unique objectif, celui de la prévention des effets d’un conflit qui frappe à nos portes. Une telle vision ne peut être que saluée et encouragée !
Saâd JAFRI