Dans une lettre adressée au FMI, au G20, à la Banque Mondiale, aux banques régionaux de développement et aux gouvernements nationaux, 150 personnalités, dont des ministres, des universitaires, d’anciens chefs d’Etat, auxquels s’est joint le député istiqlalien Lahcen Haddad, ont lancé un appel pour faire face à la menace de déscolarisation des enfants vulnérables dans le monde dans le contexte de la pandémie de la Covid-19.
En effet, les signataires ont mis en garde contre la déscolarisation de plus d’un milliard d’enfants dans le monde à cause du verrouillage causé par la pandémie, rappelant que les enfants les plus pauvres du monde ont été exclus de l’apprentissage.
La lettre avance le chiffre de 800 millions de jeunes qui quittent l’éducation sans aucune qualification. Elle met en avant l’effet de la pandémie sur les budgets de l’éducation sachant que le ralentissement de la croissance et, par conséquent, celui des recettes fiscales a astreint les gouvernements à accorder la priorité aux dépenses de santé et de relance économique.
Dans ce sens, les signataires ont conjuré les organisations internationales et tous les pays à soutenir les initiatives pour préserver le financement de l’éducation. « Dans la lutte contre la Covid-19, on a rogné dans les budgets de l’éducation pour redéployer ces fonds ailleurs », a estimé Lahcen Haddad, seule personnalité marocaine à signer cette lettre, ajoutant que « dans la plupart des pays, pour les familles pauvres, le seul moyen pour les enfants d’échapper aux travaux dans les champs en aide à leurs parents, au travail, aux mariages forcés, à la prostitution même, c’est d’aller à l’école ».
En effet, les signataires ont mis en garde contre la déscolarisation de plus d’un milliard d’enfants dans le monde à cause du verrouillage causé par la pandémie, rappelant que les enfants les plus pauvres du monde ont été exclus de l’apprentissage.
La lettre avance le chiffre de 800 millions de jeunes qui quittent l’éducation sans aucune qualification. Elle met en avant l’effet de la pandémie sur les budgets de l’éducation sachant que le ralentissement de la croissance et, par conséquent, celui des recettes fiscales a astreint les gouvernements à accorder la priorité aux dépenses de santé et de relance économique.
Dans ce sens, les signataires ont conjuré les organisations internationales et tous les pays à soutenir les initiatives pour préserver le financement de l’éducation. « Dans la lutte contre la Covid-19, on a rogné dans les budgets de l’éducation pour redéployer ces fonds ailleurs », a estimé Lahcen Haddad, seule personnalité marocaine à signer cette lettre, ajoutant que « dans la plupart des pays, pour les familles pauvres, le seul moyen pour les enfants d’échapper aux travaux dans les champs en aide à leurs parents, au travail, aux mariages forcés, à la prostitution même, c’est d’aller à l’école ».