"L'incident qui comporte une atteinte à l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc et une ingérence dans les affaires internes d'un pays musulman membre de l'Union, commis par un représentant d'une organisation parlementaire qui ne fait pas partie de l’Union", a précisé la délégation.
La délégation marocaine a souligné dans une lettre de protestation adressée au Secrétaire général de l'Union que l'accueil de Gloria Florez, présidente du Parlement andin et son invitation à assister à la session d'ouverture par le pays hôte "ne l'habilite, en aucun cas, à aborder des questions qui ne relèvent pas de la compétence de l'organisation ou à soulever des sujets de controverse pouvant compromettre l’esprit de consensus qui caractérise notre action islamique commune".
La délégation marocaine a affirmé que de tels dépassements "constituent une violation flagrante des objectifs de notre union et des principes qui sous-tendent sa fondation", soulignant que "ces pratiques ne peuvent être tolérées ou passées sous silence" et exprimant son rejet absolu et catégorique de ce qui s'est passé et du contenu du discours de la représentante du Parlement andin".
La délégation parlementaire marocaine a appelé le Secrétariat général à retirer le contenu de ce discours des rapports de l’Union parlementaire de l’OCI, demandant à "veiller à ce que cet incident ne se reproduise plus".
La délégation marocaine a souligné dans une lettre de protestation adressée au Secrétaire général de l'Union que l'accueil de Gloria Florez, présidente du Parlement andin et son invitation à assister à la session d'ouverture par le pays hôte "ne l'habilite, en aucun cas, à aborder des questions qui ne relèvent pas de la compétence de l'organisation ou à soulever des sujets de controverse pouvant compromettre l’esprit de consensus qui caractérise notre action islamique commune".
La délégation marocaine a affirmé que de tels dépassements "constituent une violation flagrante des objectifs de notre union et des principes qui sous-tendent sa fondation", soulignant que "ces pratiques ne peuvent être tolérées ou passées sous silence" et exprimant son rejet absolu et catégorique de ce qui s'est passé et du contenu du discours de la représentante du Parlement andin".
La délégation parlementaire marocaine a appelé le Secrétariat général à retirer le contenu de ce discours des rapports de l’Union parlementaire de l’OCI, demandant à "veiller à ce que cet incident ne se reproduise plus".