Au cours de la saison agricole précédente, les céréales ont été fournies de 25 pays notamment d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud et à de l’Asie, a affirmé le ministère de l’Agriculture, de la Pêche, du Développement rural et des Eaux et forêts, en réponse à une question écrite sur la manière de faire face aux répercussions de la guerre russo-ukrainienne sur les importations agricoles.
Ainsi, en dépit des conditions climatiques et des facteurs géopolitiques actuels, le Maroc ne se contente plus de s’appuyer sur les sources traditionnelles d’importation de céréales, dont une part importante provenait d’Europe et d’Amérique du Nord.
En ce sens, et jusqu’à fin février 2022, l’Argentine et le Brésil représentaient 41 % des importations de céréales, selon les données fournies par le ministère de l’Agriculture. Le ministère de l’Agriculture a estimé que, grâce à la stratégie de diversification des sources d’approvisionnement en céréales, le Maroc a pu être à l’abri des répercussions des fluctuations externes, dues à la guerre en cours entre la Russie et l’Ukraine, qui sont respectivement le deuxième et le troisième fournisseur de blé tendre au Royaume.
Le Maroc a importé 5,6 millions de quintaux de blé tendre et 500.000 quintaux d’orge ukrainienne, sur la part habituelle de l’Ukraine sur le marché national, qui s’élève à environ 8,7 millions de quintaux de blé tendre et 670.000 quintaux d’orge, selon les données fournies par le ministère de l’Agriculture en réponse à la question écrite.
Le même ministère a confirmé que le reste du quota de blé tendre et d’orge que le Maroc avait l’habitude d’importer d’Ukraine peut être couvert de manière fluide par d’autres sources, notamment l’Union européenne et l’Argentine, grâce à la stratégie de diversification des sources d’approvisionnement en céréales.
Ainsi, en dépit des conditions climatiques et des facteurs géopolitiques actuels, le Maroc ne se contente plus de s’appuyer sur les sources traditionnelles d’importation de céréales, dont une part importante provenait d’Europe et d’Amérique du Nord.
En ce sens, et jusqu’à fin février 2022, l’Argentine et le Brésil représentaient 41 % des importations de céréales, selon les données fournies par le ministère de l’Agriculture. Le ministère de l’Agriculture a estimé que, grâce à la stratégie de diversification des sources d’approvisionnement en céréales, le Maroc a pu être à l’abri des répercussions des fluctuations externes, dues à la guerre en cours entre la Russie et l’Ukraine, qui sont respectivement le deuxième et le troisième fournisseur de blé tendre au Royaume.
Le Maroc a importé 5,6 millions de quintaux de blé tendre et 500.000 quintaux d’orge ukrainienne, sur la part habituelle de l’Ukraine sur le marché national, qui s’élève à environ 8,7 millions de quintaux de blé tendre et 670.000 quintaux d’orge, selon les données fournies par le ministère de l’Agriculture en réponse à la question écrite.
Le même ministère a confirmé que le reste du quota de blé tendre et d’orge que le Maroc avait l’habitude d’importer d’Ukraine peut être couvert de manière fluide par d’autres sources, notamment l’Union européenne et l’Argentine, grâce à la stratégie de diversification des sources d’approvisionnement en céréales.