SM le Roi Mohammed VI, a accordé sa grâce royale au profit de 5.654 détenus et ordonné de prendre toutes les mesures nécessaires pour renforcer la protection des détenus au sein des établissements pénitentiaires, particulièrement contre la propagation de l’épidémie du coronavirus, a annoncé le ministère de la Justice.
Compte tenu des circonstances exceptionnelles associées à l’état d’urgence sanitaire et des précautions qu’il impose, ce processus sera exécuté par étapes successives, ajoute le communiqué publié, dimanche. Dans ce sillage, les bénéficiaires de la Grâce royale seront soumis à une surveillance, à des tests médicaux, ainsi que la mise en quarantaine nécessaire, à leur domicile, pour assurer leur sécurité.
SM le Roi, a également ordonné de prendre toutes les mesures nécessaires pour renforcer la protection des détenus au sein de ces établissements, particulièrement contre la propagation du Coronavirus, ajoute le ministère.
Les détenus bénéficiaires de cette Grâce royale ont été sélectionnés sur la base des critères humains et strictement objectifs, qui prennent en considération leur âge, leur état de santé précaire et la durée de leur détention, ainsi que la bonne conduite, le bon comportement et la discipline dont ils ont fait preuve tout au long de leur incarcération, précise la même source.
(Avec MAP)
Compte tenu des circonstances exceptionnelles associées à l’état d’urgence sanitaire et des précautions qu’il impose, ce processus sera exécuté par étapes successives, ajoute le communiqué publié, dimanche. Dans ce sillage, les bénéficiaires de la Grâce royale seront soumis à une surveillance, à des tests médicaux, ainsi que la mise en quarantaine nécessaire, à leur domicile, pour assurer leur sécurité.
SM le Roi, a également ordonné de prendre toutes les mesures nécessaires pour renforcer la protection des détenus au sein de ces établissements, particulièrement contre la propagation du Coronavirus, ajoute le ministère.
Les détenus bénéficiaires de cette Grâce royale ont été sélectionnés sur la base des critères humains et strictement objectifs, qui prennent en considération leur âge, leur état de santé précaire et la durée de leur détention, ainsi que la bonne conduite, le bon comportement et la discipline dont ils ont fait preuve tout au long de leur incarcération, précise la même source.
(Avec MAP)