Bien qu'elle n'ait pas inclu tous les membres de la direction du PJD, Maelainine n'a pas hésité à affirmer, sur un ton de critique acerbe, que la direction de son parti a choisi de participer à ce qu'elle a qualifié de « stratagèmes politiques, tuant la crédibilité et généralisant la superficialité, la vanité, le vide et l'inefficacité ».
Quant à ceux qui préfèrent leurs intérêts personnels aux dépens des intérêts du pays et de la crédibilité de leurs partis et de l'engagement politique pour lesquels les combattants ont tout sacrifié, ils devraient craindre Dieu dans leur patrie, leurs partis, et les générations futures, a-t-elle ajouté.
La députée a estimé que le moment électoral a accentué la rupture entre la direction actuelle et un grand nombre de combattants du parti, notamment le courant appelant au retour à la prise de distance par rapport au pouvoir exécutif. Les décideurs du parti, femmes et hommes, « ont fait de mauvais choix et de mauvaises décisions, dont certaines sont opportunistes et lâches, visant à changer les gènes politiques du parti, et je continuerai à les critiquer quelle que soit l'ampleur de leur haine, qui transcende parfois ce qui est politique pour toucher ce qui est personnel », allègue-t-elle.
Maelainine a poursuivi en précisant que "certains décideurs du parti devraient avoir un certain degré de réserve, et abandonner les enfantillages et les préjugés dont ils font preuve à l'intérieur et à l'extérieur des organes politiques. Nous ne sommes pas intimidés par le harcèlement moral et nous avons continué à considérer le « leadership » comme un attribut des adultes et non comme un titre accordé par l'appartenance à des organismes».
Et au lieu d'annoncer son départ de son parti, et laisser ceux qui cherchent à se débarrasser d'elle atteindre leur objectif, elle demeure la voix dérangeante et la pensée rebelle qui rejette les orientations du mouvement de quête du pouvoir, et la volonté de garder la responsabilité exécutive à n'importe quel prix.
Quant à ceux qui préfèrent leurs intérêts personnels aux dépens des intérêts du pays et de la crédibilité de leurs partis et de l'engagement politique pour lesquels les combattants ont tout sacrifié, ils devraient craindre Dieu dans leur patrie, leurs partis, et les générations futures, a-t-elle ajouté.
La députée a estimé que le moment électoral a accentué la rupture entre la direction actuelle et un grand nombre de combattants du parti, notamment le courant appelant au retour à la prise de distance par rapport au pouvoir exécutif. Les décideurs du parti, femmes et hommes, « ont fait de mauvais choix et de mauvaises décisions, dont certaines sont opportunistes et lâches, visant à changer les gènes politiques du parti, et je continuerai à les critiquer quelle que soit l'ampleur de leur haine, qui transcende parfois ce qui est politique pour toucher ce qui est personnel », allègue-t-elle.
Maelainine a poursuivi en précisant que "certains décideurs du parti devraient avoir un certain degré de réserve, et abandonner les enfantillages et les préjugés dont ils font preuve à l'intérieur et à l'extérieur des organes politiques. Nous ne sommes pas intimidés par le harcèlement moral et nous avons continué à considérer le « leadership » comme un attribut des adultes et non comme un titre accordé par l'appartenance à des organismes».
Et au lieu d'annoncer son départ de son parti, et laisser ceux qui cherchent à se débarrasser d'elle atteindre leur objectif, elle demeure la voix dérangeante et la pensée rebelle qui rejette les orientations du mouvement de quête du pouvoir, et la volonté de garder la responsabilité exécutive à n'importe quel prix.