Les premiers éléments de l'enquête révèlent que le tueur présumé du jeune Adnane Bouchouf, a emmené la victime dans un appartement qu'il loue dans le même quartier résidentiel, l'a agressée sexuellement et commis l'homicide volontaire, au même jour et à la même heure, avant de procéder à son enterrement aux alentours de son domicile.
Ses colocataires ont également été arrêtés pour dissimulation de crime commis. Selon des sources sécuritaires citées par 2M.ma, ces derniers auraient reconnu leur ami sur les images de caméra-surveillance diffusées sur les réseaux sociaux sans en aviser les services de sécurité.
Le procureur général du Roi près la Cour d'appel a déféré les suspects devant la première chambre d'instruction de cette Cour pour complément d'enquête.
Rappelons que les éléments du service préfectoral de la police judiciaire de Tanger avaient interpellé le prévenu principal dans la nuit du vendredi. Contrairement à certains témoignages affirmant que l’homme était inconnu au quartier, la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) a affirmé que le suspect résidait près de la victime.
Par ailleurs, il convient de noter que cette affaire a secoué l’ensemble de la population marocaine, relançant le débat national sur la réinstauration de la peine de mort. Individus et associations ont exprimé leur indignation face à ce crime odieux, lançant une pétition qui a jusqu’à présent recueilli près de 400.000 signatures.
(Avec MAP)
Ses colocataires ont également été arrêtés pour dissimulation de crime commis. Selon des sources sécuritaires citées par 2M.ma, ces derniers auraient reconnu leur ami sur les images de caméra-surveillance diffusées sur les réseaux sociaux sans en aviser les services de sécurité.
Le procureur général du Roi près la Cour d'appel a déféré les suspects devant la première chambre d'instruction de cette Cour pour complément d'enquête.
Rappelons que les éléments du service préfectoral de la police judiciaire de Tanger avaient interpellé le prévenu principal dans la nuit du vendredi. Contrairement à certains témoignages affirmant que l’homme était inconnu au quartier, la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) a affirmé que le suspect résidait près de la victime.
Par ailleurs, il convient de noter que cette affaire a secoué l’ensemble de la population marocaine, relançant le débat national sur la réinstauration de la peine de mort. Individus et associations ont exprimé leur indignation face à ce crime odieux, lançant une pétition qui a jusqu’à présent recueilli près de 400.000 signatures.
(Avec MAP)