« Le président du tribunal d'instruction de Saragosse a ordonné qu'une commission rogatoire soit envoyée au décanat des tribunaux de Madrid afin que soit aménagée une salle d'où » le directeur adjoint des opérations (DAO), le commissaire principal José Ángel González, pourrait témoigner, a révélé mercredi le média espagnol LA RAZÓN, qui a eu accès à l’ordonnance du juge.
Le « numéro deux » de la police pourra témoigner par vidéoconférence dans l'affaire Ghali le 7, février, précise la même source, notant que cette convocation a pour objectif de « clarifier si le ministère de l’Intérieur a couvert l'arrivée dans notre pays le 18 avril de l'année dernière du chef du polisario, qui à ces dates avait deux affaires dans l'Audiencia Nacional pour des crimes de génocide, torture et détention illégale ».
Le juge Rafael Lasal veut également, poursuit LA RAZÓN, entendre la version du haut responsable sécuritaire sur les raisons poussant « la police a ne pas enquêter d'office sur un éventuel faux document après avoir constaté que Ghali était enregistré à l'hôpital de Logroño (où il est resté jusqu'au 1er juin en convalescence) avec un faux passeport au nom de Mohamed Benbatouche pour dissimuler son entrée en Espagne.
Il aspire, en outre, à lever le voile sur « l'un des mystères qui subsistent neuf mois plus tard : l'identité de la deuxième compagne de Ghali (chargée de l'enregistrer sous un faux nom), supposée être un médecin algérien dont la venue en Espagne était expressément interdite par le ministère des affaires étrangères ».
Le « numéro deux » de la police pourra témoigner par vidéoconférence dans l'affaire Ghali le 7, février, précise la même source, notant que cette convocation a pour objectif de « clarifier si le ministère de l’Intérieur a couvert l'arrivée dans notre pays le 18 avril de l'année dernière du chef du polisario, qui à ces dates avait deux affaires dans l'Audiencia Nacional pour des crimes de génocide, torture et détention illégale ».
Le juge Rafael Lasal veut également, poursuit LA RAZÓN, entendre la version du haut responsable sécuritaire sur les raisons poussant « la police a ne pas enquêter d'office sur un éventuel faux document après avoir constaté que Ghali était enregistré à l'hôpital de Logroño (où il est resté jusqu'au 1er juin en convalescence) avec un faux passeport au nom de Mohamed Benbatouche pour dissimuler son entrée en Espagne.
Il aspire, en outre, à lever le voile sur « l'un des mystères qui subsistent neuf mois plus tard : l'identité de la deuxième compagne de Ghali (chargée de l'enregistrer sous un faux nom), supposée être un médecin algérien dont la venue en Espagne était expressément interdite par le ministère des affaires étrangères ».