Dans un communiqué diffusé ce mardi, le Procureur du Roi prés de la Cour d’appel de Casablanca a dit avoir pris connaissance des contenus diffusés sur certaines plateformes de médias sociaux, qui mettent en cause des personnalités et institutions nationales dans l’affaire liée au trafic international de drogues, dans le cadre de laquelle 25 personnes ont été déférés devant le parquet, dont des personnes qui exercent des fonctions législatives, de gestion de collectivités territoriales et d’application de la loi.
Il a, par ailleurs, rappelé la publication d’un communiqué officiel en décembre dernier et dans lequel des informations préliminaires sur l’enquête sur les accusations de trafic de drogue visant des personnalités et institutions nationales ont été fournies au grand public.
«Le communiqué a indiqué que 25 personnes ont été arrêtées dans le cadre de cette affaire, dont des députés, des maires et des policiers. Le Procureur du Roi a également déclaré que les personnes arrêtées sont actuellement interrogées par le juge d’instruction», rappelle le ministère public.
Selon le Parquet, les informations relayées dans certains articles et sites Web sur l’implication de personnalités et institutions nationales dans cette affaire ne sont que des allégations et de fausses informations. Par conséquent, «le ministère public dit qu’il « se réserve le droit de mettre en accusation leurs auteurs du fait qu’ils visent à imputer des accusations sans fondement aux personnes et aux institutions concernées par ces informations, ainsi qu’à porter atteinte à leur réputation».
La même source a annoncé avoir ordonné l’ouverture d’une enquête sur la diffusion de ces fausses informations. L’enquête confiée aux services de la Brigade nationale de la police judiciaire vise à identifier les personnes impliquées dans ce dossier, quel que soit le canal utilisé à cet effet. Le Parquet rassure, en fin, que les effets juridiques de ces actes seront établis une fois l’enquête en question est achevée.
Il a, par ailleurs, rappelé la publication d’un communiqué officiel en décembre dernier et dans lequel des informations préliminaires sur l’enquête sur les accusations de trafic de drogue visant des personnalités et institutions nationales ont été fournies au grand public.
«Le communiqué a indiqué que 25 personnes ont été arrêtées dans le cadre de cette affaire, dont des députés, des maires et des policiers. Le Procureur du Roi a également déclaré que les personnes arrêtées sont actuellement interrogées par le juge d’instruction», rappelle le ministère public.
Selon le Parquet, les informations relayées dans certains articles et sites Web sur l’implication de personnalités et institutions nationales dans cette affaire ne sont que des allégations et de fausses informations. Par conséquent, «le ministère public dit qu’il « se réserve le droit de mettre en accusation leurs auteurs du fait qu’ils visent à imputer des accusations sans fondement aux personnes et aux institutions concernées par ces informations, ainsi qu’à porter atteinte à leur réputation».
La même source a annoncé avoir ordonné l’ouverture d’une enquête sur la diffusion de ces fausses informations. L’enquête confiée aux services de la Brigade nationale de la police judiciaire vise à identifier les personnes impliquées dans ce dossier, quel que soit le canal utilisé à cet effet. Le Parquet rassure, en fin, que les effets juridiques de ces actes seront établis une fois l’enquête en question est achevée.