Ph : Nidal
La zone du grand Agadir a été, ce lundi, le théâtre d’un épisode d’une secousse tellurique de magnitude 4,5 degrés sur l’échelle de Richter, qui a fait paniquer les habitants de la région. La secousse, dont l’épicentre est situé au large de la province d’Agadir, s’est produite à 5H51min 46sec (GMT+1), a précisé le Réseau national de surveillance et d’alerte sismique, relevant de l’Institut national de géophysique (ING), dans un bulletin d’alerte sismique.
Survenue à une profondeur de 3 km, la secousse s’est produite à une latitude de 30.290°N et une longitude de 9.650°W, selon la même source. Cet événement a poussé plusieurs habitants à quitter leurs foyers respectifs, craignant une deuxième frappe plus forte. Dans la commune d’Aourir, au nord de la ville d’Agadir, les citoyens sont restés dans les rues, jusqu’au lever du soleil. Même son de cloche à Inzegane et Ait Melloul, où les habitants ont filmé des dizaines de familles apeurées par la situation.
Flashback du drame de 1960
Cette secousse rappelle de mauvais souvenir du tremblement de terre le plus meurtrier de l’histoire du Maroc. D’une magnitude de 5,7 sur l’échelle de Richter, la secousse s’est produite dans les environs de 23h et a duré 15 secondes. Quelques heures auparavant, deux petites secousses prémonitoires, l’une le matin, l’autre en fin d’après-midi, avaient déjà fait trembler le sol, mais sans pour autant inquiéter la ville. In fine, un tiers de la population a été touchée par le séisme : 15.000 personnes sont mortes et environ 25.000 ont été blessées.
Dès le lendemain du séisme, Feu Mohammed V a constitué une commission de reconstruction. Afin de réduire les risques sismiques, il a été décidé que la ville nouvelle soit reconstruite un peu plus au sud, abandonnant ainsi les quartiers situés au nord de l’oued Tildi devenus inconstructibles. Il s’agit de la Kasbah, Founti, Yachech et Talborjt. La première pierre de ce chantier fut posée par Feu Mohammed V le 30 juin 1960.
Depuis le temps, les habitants et responsables de la région effectuent un rituel collectif de prières et d’implorations pour le repos des âmes des victimes des disparus dans la catastrophe. Une occasion, également, de rendre hommage aux Forces Armées Royales (FAR) et aux armées des nations amies qui sont intervenues pour secourir les rescapés de la catastrophe et leur donner les premiers soins.
Survenue à une profondeur de 3 km, la secousse s’est produite à une latitude de 30.290°N et une longitude de 9.650°W, selon la même source. Cet événement a poussé plusieurs habitants à quitter leurs foyers respectifs, craignant une deuxième frappe plus forte. Dans la commune d’Aourir, au nord de la ville d’Agadir, les citoyens sont restés dans les rues, jusqu’au lever du soleil. Même son de cloche à Inzegane et Ait Melloul, où les habitants ont filmé des dizaines de familles apeurées par la situation.
Flashback du drame de 1960
Cette secousse rappelle de mauvais souvenir du tremblement de terre le plus meurtrier de l’histoire du Maroc. D’une magnitude de 5,7 sur l’échelle de Richter, la secousse s’est produite dans les environs de 23h et a duré 15 secondes. Quelques heures auparavant, deux petites secousses prémonitoires, l’une le matin, l’autre en fin d’après-midi, avaient déjà fait trembler le sol, mais sans pour autant inquiéter la ville. In fine, un tiers de la population a été touchée par le séisme : 15.000 personnes sont mortes et environ 25.000 ont été blessées.
Dès le lendemain du séisme, Feu Mohammed V a constitué une commission de reconstruction. Afin de réduire les risques sismiques, il a été décidé que la ville nouvelle soit reconstruite un peu plus au sud, abandonnant ainsi les quartiers situés au nord de l’oued Tildi devenus inconstructibles. Il s’agit de la Kasbah, Founti, Yachech et Talborjt. La première pierre de ce chantier fut posée par Feu Mohammed V le 30 juin 1960.
Depuis le temps, les habitants et responsables de la région effectuent un rituel collectif de prières et d’implorations pour le repos des âmes des victimes des disparus dans la catastrophe. Une occasion, également, de rendre hommage aux Forces Armées Royales (FAR) et aux armées des nations amies qui sont intervenues pour secourir les rescapés de la catastrophe et leur donner les premiers soins.