Selon des sources dignes de foi, le commandant Chafik Chengriha, fils du général Saïd Chengriha, est dans le viseur des services de la Direction Générale de la sécurité Intérieure française pour participation au projet d’une action terroriste.
Envoyé en France en 2020, après l’accession de son père à la tête de l’état-major de l’armée algérienne, pour poursuivre des études en post-graduation dans une université lyonnaise, le commandant Chafik Chengriha prolonge son séjour d’une année en s’inscrivant dans une université parisienne. Ses études achevées, il refuse de rentrer en Algérie où il lui est difficile de vivre pleinement sa vie d’homosexuel.
En toute discrétion, il est intégré au bureau militaire de l’ambassade d’Algérie à Paris. Imitant son papa, il s’immisce dans les affaires qui ne relèvent nullement de ses prérogatives. Profitant de son statut de fils de… il commence par satisfaire sa curiosité du monde du renseignement. Les agents de la DGDSE exerçant au sein de l’ambassade ne lui refusent rien et lui permettent de tout savoir de leurs activités. Ils lui feront connaître leurs agents externes et le mettent au parfum des opérations qu’ils envisagent de mener contre les figures de l’opposition algérienne installées en France. Animé par un esprit revanchard contre certaines de ces figures très critiques envers son papa, il s’implique sans retenue dans les opérations qui les ciblent. Tout comme il envisage des opérations de règlement de comptes contre des personnes sans étiquette politique.
C’est ainsi, qu’il s’est trouvé mêlé dans un plan visant à éliminer physiquement un jeune homme d’affaires qui aurait fait de l’ombre involontairement à des sociétés qui lui assurent un pourcentage consistant sur leurs bénéfices en contrepartie de ses interventions en leur faveur. Mais, aussi, pour avoir déjoué, sans le savoir, des plans diaboliques de la DGDSE algérienne en France. A voir de près, la cible n’a nullement le profil d’un opposant politique et n’a jamais manifesté une quelconque hostilité au régime algérien.
Du coup, le commandant Chafik Chengriha s’est exposé gratuitement aux projecteurs du contre-espionnage français qui a suffisamment de preuves de son implication dans ce qui est considéré comme action terroriste. C’est un scandale de plus pour la Direction Générale de la sécurité Extérieure algérienne qui fait dans un amateurisme sidérant en impliquant dans ses opérations des amateurs bavards et frimeurs comme le Commandant Chafik Chengriha, Lotfi Nezzar, le fils du général Khaled Nezzar, un certain Mohamed Aït-Aftis ou Kaci Ghiles et le « rat de Londres ».
Il est vrai que le patron de cette structure, le général-major Djebbar Mehenna nommé à ce poste en septembre 2022, n’a aucune connaissance du monde du renseignement extérieur. Il a passé l’essentiel de sa carrière à la sécurité intérieure et à la sécurité de l’armée. Après un passage par la case prison pour « enrichissement illicite dont le proxénétisme », en octobre 2019 (voir vidéo de la télévision publique algérienne), et après une condamnation à une peine de 8 ans de prison dont il n’a purgé que 8 mois, Djebbar Mehenna s’est trouvé chargé de la lourde mission du contre-espionnage extérieur. Une mission qu’il transforme en une chasse aux opposants. Une chasse sans un seul succès, mais beaucoup de déboires.
Envoyé en France en 2020, après l’accession de son père à la tête de l’état-major de l’armée algérienne, pour poursuivre des études en post-graduation dans une université lyonnaise, le commandant Chafik Chengriha prolonge son séjour d’une année en s’inscrivant dans une université parisienne. Ses études achevées, il refuse de rentrer en Algérie où il lui est difficile de vivre pleinement sa vie d’homosexuel.
En toute discrétion, il est intégré au bureau militaire de l’ambassade d’Algérie à Paris. Imitant son papa, il s’immisce dans les affaires qui ne relèvent nullement de ses prérogatives. Profitant de son statut de fils de… il commence par satisfaire sa curiosité du monde du renseignement. Les agents de la DGDSE exerçant au sein de l’ambassade ne lui refusent rien et lui permettent de tout savoir de leurs activités. Ils lui feront connaître leurs agents externes et le mettent au parfum des opérations qu’ils envisagent de mener contre les figures de l’opposition algérienne installées en France. Animé par un esprit revanchard contre certaines de ces figures très critiques envers son papa, il s’implique sans retenue dans les opérations qui les ciblent. Tout comme il envisage des opérations de règlement de comptes contre des personnes sans étiquette politique.
C’est ainsi, qu’il s’est trouvé mêlé dans un plan visant à éliminer physiquement un jeune homme d’affaires qui aurait fait de l’ombre involontairement à des sociétés qui lui assurent un pourcentage consistant sur leurs bénéfices en contrepartie de ses interventions en leur faveur. Mais, aussi, pour avoir déjoué, sans le savoir, des plans diaboliques de la DGDSE algérienne en France. A voir de près, la cible n’a nullement le profil d’un opposant politique et n’a jamais manifesté une quelconque hostilité au régime algérien.
Du coup, le commandant Chafik Chengriha s’est exposé gratuitement aux projecteurs du contre-espionnage français qui a suffisamment de preuves de son implication dans ce qui est considéré comme action terroriste. C’est un scandale de plus pour la Direction Générale de la sécurité Extérieure algérienne qui fait dans un amateurisme sidérant en impliquant dans ses opérations des amateurs bavards et frimeurs comme le Commandant Chafik Chengriha, Lotfi Nezzar, le fils du général Khaled Nezzar, un certain Mohamed Aït-Aftis ou Kaci Ghiles et le « rat de Londres ».
Il est vrai que le patron de cette structure, le général-major Djebbar Mehenna nommé à ce poste en septembre 2022, n’a aucune connaissance du monde du renseignement extérieur. Il a passé l’essentiel de sa carrière à la sécurité intérieure et à la sécurité de l’armée. Après un passage par la case prison pour « enrichissement illicite dont le proxénétisme », en octobre 2019 (voir vidéo de la télévision publique algérienne), et après une condamnation à une peine de 8 ans de prison dont il n’a purgé que 8 mois, Djebbar Mehenna s’est trouvé chargé de la lourde mission du contre-espionnage extérieur. Une mission qu’il transforme en une chasse aux opposants. Une chasse sans un seul succès, mais beaucoup de déboires.