Abdelmajid Tebboune, façade civile du régime des généraux, bombardé en 2019 président de l’Algérie à l’issue d’un scrutin marqué par un taux d’abstention historique, vient de se rappeler à notre bon souvenir en clamant haut et fort qu’il ne lâchera jamais le Polisario quel qu’en soit le prix. L’affirmation a été formulée dans le cadre du Haut Conseil de Sécurité algérien, une étrange instance qui semble en proie à une grave crise de «réunionite aiguë» depuis que le duo Tebboune/Chengriha s’est emparé du pouvoir, plongeant le pays voisin dans une ambiance d’hystérie sécuritaire intérieure et extérieure permanente.
Programmée à la veille de la reconduction du criminel Brahim Ghali à la tête de la pseudo RASD à l’issue d’un simulacre d’élections où la main d’Alger était comme d’habitude omniprésente, la sortie de Tebboune est un aveu clair et manifeste que son pays est partie prenante agissante au conflit sur le Sahara marocain. Elle devrait à ce titre être officiellement consignée par les instances onusiennes compétentes comme une preuve intangible de l’implication directe de l’Algérie dans ce conflit créé de toutes pièces pour contrarier le développement du Maroc et réduire son poids géopolitique au niveau du Maghreb et de l’Afrique.
A une année des prochaines élections présidentielles algériennes en prévision desquelles Tebboune veut faire bonne figure auprès de ses parrains militaires pour briguer un nouveau mandat, de telles sorties devront certainement s’intensifier, en ton comme en quantité, au même titre que l’hostilité envers le Maroc que les dirigeants algériens ont érigée depuis longtemps comme doctrine politique. Mais sur le terrain et dans les faits, la prose de Tebboune comme les manœuvres des généraux n’y changeront rien.
Tout au plus, ces gesticulations répétitives serviront à animer la chronique d’une guerre plus médiatique et psychologique qu’autre chose, où les séparatistes du Polisario continueront à camper le rôle de comparses et d’otages dans lequel les généraux algériens s’évertuent depuis quatre décennies à les maintenir. Donc pas la peine de le dire, Monsieur Tebboune, on sait très bien que vous ne lâcherez jamais vos mercenaires car vous ne le pouvez pas. Gardez-les dans vos frontières et c’est tant mieux ainsi.
Programmée à la veille de la reconduction du criminel Brahim Ghali à la tête de la pseudo RASD à l’issue d’un simulacre d’élections où la main d’Alger était comme d’habitude omniprésente, la sortie de Tebboune est un aveu clair et manifeste que son pays est partie prenante agissante au conflit sur le Sahara marocain. Elle devrait à ce titre être officiellement consignée par les instances onusiennes compétentes comme une preuve intangible de l’implication directe de l’Algérie dans ce conflit créé de toutes pièces pour contrarier le développement du Maroc et réduire son poids géopolitique au niveau du Maghreb et de l’Afrique.
A une année des prochaines élections présidentielles algériennes en prévision desquelles Tebboune veut faire bonne figure auprès de ses parrains militaires pour briguer un nouveau mandat, de telles sorties devront certainement s’intensifier, en ton comme en quantité, au même titre que l’hostilité envers le Maroc que les dirigeants algériens ont érigée depuis longtemps comme doctrine politique. Mais sur le terrain et dans les faits, la prose de Tebboune comme les manœuvres des généraux n’y changeront rien.
Tout au plus, ces gesticulations répétitives serviront à animer la chronique d’une guerre plus médiatique et psychologique qu’autre chose, où les séparatistes du Polisario continueront à camper le rôle de comparses et d’otages dans lequel les généraux algériens s’évertuent depuis quatre décennies à les maintenir. Donc pas la peine de le dire, Monsieur Tebboune, on sait très bien que vous ne lâcherez jamais vos mercenaires car vous ne le pouvez pas. Gardez-les dans vos frontières et c’est tant mieux ainsi.