Organisé en partenariat avec la Fondation haïtienne Dr . Louis G. Lamothe, cette vidéo conférence avait pour objectif d’approfondir la réflexion sur les différents mécanismes de coopération entre les pays du Sud, dans l’objectif d’une réponse commune et solide face à la pandémie du Covid-19.
Plusieurs personnalités africaines et caribéennes ont pris part à cet évènement, dont Laurent Lamothe, ancien premier ministre de Haïti et président de la Fondation Dr . Louis G. Lamothe, Martin Ziguele, ancien premier ministre de la République Centrafricaine, et Marie Carmelle Rose Anne Auguste, spécialiste en gestion des services de santé et ancienne ministre Haïtienne Chargée des Droits Humains et de la Lutte contre la Pauvreté…
A cette occasion, l’ancien Premier Ministre Haïtien a souligné l’importance d’une coopération entre les pays du Sud pour confronter cette pandémie. Pour M. Lamothe, cette crise est l’opportunité de « sortir plus forts, plus solidaires, plus résilients ».
L’industrie marocaine mobilisée
Pour sa part, M. Fassi Fihri, après avoir félicité les efforts du Maroc dans sa lutte contre l’épidémie, a déclaré : « près de deux mois après l’apparition du premier cas, on peut dire que grâce à l’anticipation des autorités, et notamment à l’approche volontariste de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la situation épidémiologique est sous contrôle ». Il a également mis l’accent sur l’efficacité de l’industrie marocaine à répondre aux besoins en masques et autres matériaux médicaux durant cette crise. Enfin, le président de l’Institut Amadeus a souligné la volonté de SM le Roi à exporter le modèle de riposte marocain à l’ensemble des pays africains.
Plusieurs thématiques ont été débattues lors de ce webinaire. Dans un premier temps, la discussion a porté sur la difficulté de certains pays à tester efficacement leurs populations, créant le risque d’avoir plusieurs cas non-déclarés sur le continent Africain. D’un autre côté, il a été soulevé la nécessité de faire face à l’effet de stigmatisation dont sont victimes les patients atteint du Coronavirus.
Autre point évoqué : l’importance d’une coopération globale entre pays du Sud, afin de multiplier les tests et de cibler la population présentant le plus de risques. D’autre part, les panélistes ont relevé la nécessité d’établir une véritable communication en temps réels entre les pays du Sud, afin de suivre l’évolution du virus et de mobiliser le maximum d’efforts pour faire face à la situation.
Les intervenants ont mis l’accent enfin sur la nécessité d’élaborer une véritable coopération Sud-Sud pour faire face à cette crise de coronavirus.
Plusieurs personnalités africaines et caribéennes ont pris part à cet évènement, dont Laurent Lamothe, ancien premier ministre de Haïti et président de la Fondation Dr . Louis G. Lamothe, Martin Ziguele, ancien premier ministre de la République Centrafricaine, et Marie Carmelle Rose Anne Auguste, spécialiste en gestion des services de santé et ancienne ministre Haïtienne Chargée des Droits Humains et de la Lutte contre la Pauvreté…
A cette occasion, l’ancien Premier Ministre Haïtien a souligné l’importance d’une coopération entre les pays du Sud pour confronter cette pandémie. Pour M. Lamothe, cette crise est l’opportunité de « sortir plus forts, plus solidaires, plus résilients ».
L’industrie marocaine mobilisée
Pour sa part, M. Fassi Fihri, après avoir félicité les efforts du Maroc dans sa lutte contre l’épidémie, a déclaré : « près de deux mois après l’apparition du premier cas, on peut dire que grâce à l’anticipation des autorités, et notamment à l’approche volontariste de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la situation épidémiologique est sous contrôle ». Il a également mis l’accent sur l’efficacité de l’industrie marocaine à répondre aux besoins en masques et autres matériaux médicaux durant cette crise. Enfin, le président de l’Institut Amadeus a souligné la volonté de SM le Roi à exporter le modèle de riposte marocain à l’ensemble des pays africains.
Plusieurs thématiques ont été débattues lors de ce webinaire. Dans un premier temps, la discussion a porté sur la difficulté de certains pays à tester efficacement leurs populations, créant le risque d’avoir plusieurs cas non-déclarés sur le continent Africain. D’un autre côté, il a été soulevé la nécessité de faire face à l’effet de stigmatisation dont sont victimes les patients atteint du Coronavirus.
Autre point évoqué : l’importance d’une coopération globale entre pays du Sud, afin de multiplier les tests et de cibler la population présentant le plus de risques. D’autre part, les panélistes ont relevé la nécessité d’établir une véritable communication en temps réels entre les pays du Sud, afin de suivre l’évolution du virus et de mobiliser le maximum d’efforts pour faire face à la situation.
Les intervenants ont mis l’accent enfin sur la nécessité d’élaborer une véritable coopération Sud-Sud pour faire face à cette crise de coronavirus.