Dans le cadre de la mise en oeuvre du Programme de Développement Urbain de la ville d'Agadir 2020-2024, le Wali de la Région Souss Massa, Ahmed Hajji, et l'Ambassadrise de France au Maroc, Hélène Le Gal, ont présidé hier la cérémonie de signature d'une convention de partenariat entre l'Agence Française de Développement (AFD) et la SDL Grand Agadir pour la Mobilité et les Déplacements Urbains.
Cette convention prévoit la contribution de l'AFD au financement de la réalisation en cours de la première ligne de Bus à Haut Niveau de Service d'Agadir, dnommée "Amalway Agadir Trambus".
Dans le détail, il s'agit d'un crédit remboursable par la partie marocaine qui fait l'objet d'une garantie souveraine du Trésor de l'Etat. Accordé sur 20 ans, le crédit prévoit une période de différé de 5 ans dont la première échéance sera payable le 31 mars 2027.
Par ailleurs, au-delà du projet de transport, les aménagements qui seront réalisés de façade à façade sur les axes traversés par "Amalway Agadir Trambus" permettront de requalifier les espaces publics et la voirie le long du projet. Ces aménagements renforceront la place offerte aux modes doux (piétons et cycles) et permettront de sécuriser leur déplacement dans des espaces spécifiques clairement identifiés et protégés des modes motorisés, conclut-on de même source.
Cette convention prévoit la contribution de l'AFD au financement de la réalisation en cours de la première ligne de Bus à Haut Niveau de Service d'Agadir, dnommée "Amalway Agadir Trambus".
Dans le détail, il s'agit d'un crédit remboursable par la partie marocaine qui fait l'objet d'une garantie souveraine du Trésor de l'Etat. Accordé sur 20 ans, le crédit prévoit une période de différé de 5 ans dont la première échéance sera payable le 31 mars 2027.
Par ailleurs, au-delà du projet de transport, les aménagements qui seront réalisés de façade à façade sur les axes traversés par "Amalway Agadir Trambus" permettront de requalifier les espaces publics et la voirie le long du projet. Ces aménagements renforceront la place offerte aux modes doux (piétons et cycles) et permettront de sécuriser leur déplacement dans des espaces spécifiques clairement identifiés et protégés des modes motorisés, conclut-on de même source.