Vahid déboussolé et indécis !
Un match différent avec plus d'intensité physique, plus agressif et plus engagé par rapport au match face au Ghana plus technique. Une formation très remaniée avec Rahimi et Jabrane titulaires depuis le coup d'envoi. Des changements, des joueurs qui évoluent ailleurs que dans leurs postes... l'avenir est incertain et très inquiétant. Pas d’équipe, pas de collectif, des individualités sans repères…
Embouteillage axial !
L'embouteillage axial a posé des problèmes aux Marocains, très lents et imprécis dans la relance et la transition avec zéro occasion après 20 minutes de jeu.
Trop de déchets !
Trop de déchets, trop de mauvaises passes, trop précipitation, défaut de créativité, animation difficile face à l'absence d'espaces libres, Hakimi a été l'auteur du premier danger dans sur un tir passé pas loin du poteau.
Une seule occasion !
30ème minute, première action construite après un multiple échange, Taârabt s'est trouvé décalé du côté gauche, a servi Rahimi, seul face au gardien, n'arrivant pas à cadrer et à marquer.
Jeu décevant, pas de solutions !
Bloqués, les Marocains avaient un problème d'animation leur permettant de trouver des ouvertures et de là des opportunités.
Désorganisés, crispés, lents, ils se compliquaient la tâche et la mission. Il y avait des appels mais pas de balles. On lançait des ballons verticaux en profondeur sans précision au lieu de transiter par des passes. Une première mi-temps très très très décevante.
Une balle arrêtée pour faire la différence !
A la 50ème minute, un coup franc de Hakimi a débloqué la situation. Le gardien est resté statique (1-0). La réaction a été immédiate. Seule l'intervention de Mounir Mohamadi a dévié le ballon en corner.
De l'insuffisance et de l'insatisfaction !
Obligés de se découvrir et de faire le jeu pour égaliser. Il y avait plus d’espaces libres. L'animation et la mobilité marocaines sont activées. En face, les Burkinabè ont avancé leur bloc se créant quelques occasions mais pas pour longtemps. Ils ont reculé en fermant les passages. Le rythme du match a baissé.
Un match différent avec plus d'intensité physique, plus agressif et plus engagé par rapport au match face au Ghana plus technique. Une formation très remaniée avec Rahimi et Jabrane titulaires depuis le coup d'envoi. Des changements, des joueurs qui évoluent ailleurs que dans leurs postes... l'avenir est incertain et très inquiétant. Pas d’équipe, pas de collectif, des individualités sans repères…
Embouteillage axial !
L'embouteillage axial a posé des problèmes aux Marocains, très lents et imprécis dans la relance et la transition avec zéro occasion après 20 minutes de jeu.
Trop de déchets !
Trop de déchets, trop de mauvaises passes, trop précipitation, défaut de créativité, animation difficile face à l'absence d'espaces libres, Hakimi a été l'auteur du premier danger dans sur un tir passé pas loin du poteau.
Une seule occasion !
30ème minute, première action construite après un multiple échange, Taârabt s'est trouvé décalé du côté gauche, a servi Rahimi, seul face au gardien, n'arrivant pas à cadrer et à marquer.
Jeu décevant, pas de solutions !
Bloqués, les Marocains avaient un problème d'animation leur permettant de trouver des ouvertures et de là des opportunités.
Désorganisés, crispés, lents, ils se compliquaient la tâche et la mission. Il y avait des appels mais pas de balles. On lançait des ballons verticaux en profondeur sans précision au lieu de transiter par des passes. Une première mi-temps très très très décevante.
Une balle arrêtée pour faire la différence !
A la 50ème minute, un coup franc de Hakimi a débloqué la situation. Le gardien est resté statique (1-0). La réaction a été immédiate. Seule l'intervention de Mounir Mohamadi a dévié le ballon en corner.
De l'insuffisance et de l'insatisfaction !
Obligés de se découvrir et de faire le jeu pour égaliser. Il y avait plus d’espaces libres. L'animation et la mobilité marocaines sont activées. En face, les Burkinabè ont avancé leur bloc se créant quelques occasions mais pas pour longtemps. Ils ont reculé en fermant les passages. Le rythme du match a baissé.