Lors d'une session plénière sous le thème "Moyen-Orient: quelle paix dans le chaos?", les participants ont pointé du doigt la situation dramatique qui prévaut dans les territoires palestiniens, plus particulièrement dans la bande de Gaza, soulignant que cette situation interpelle la conscience mondiale et exige une intervention décisive et immédiate pour l’instauration d’un cessez-le feu concret, global et durable et d’œuvrer pour l'accélération de l’acheminement des aides humanitaires nécessaires.
Ils ont également appelé à mettre en place des actions concrètes pour protéger les droits humains dans les territoires palestiniens, assurer l’application des résolutions onusiennes en la matière et à veiller au respect total des dispositions du Droit international et du Droit international humanitaire, et ce afin d'instaurer la paix, la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient dans le cadre de la solution à deux Etats, qui fait l’objet d’un consensus international et en vertu de laquelle Gaza fait partie intégrante des territoires palestiniens indépendants.
S'exprimant à cette occasion, l'envoyé spécial du président palestinien, Riyad Al Maliki, a souligné que la cause palestinienne se trouve aujourd'hui dans une situation critique, en raison de l'affaiblissement de l'Autorité palestinienne au cours des dernières années et des tentatives d'Israël de se soustraire aux engagements de l'accord d'Oslo et de vouloir saper la création d'un État palestinien dans les frontières de 1967.
Il a, dans ce sens, noté que l'Autorité palestinienne s'est employée, au fil des années, à mobiliser le soutien international en faveur de la cause palestinienne, ce qui a permis de porter à 149 le nombre des pays reconnaissant l'État de Palestine et de bénéficier du statut d'État observateur non membre auprès des Nations Unies, tout en continuant à œuvrer pour devenir membre à part entière de l'Organisation onusienne.
Concernant la situation actuelle à Gaza et en Cisjordanie, M. Al Maliki a souligné la nécessité pour la communauté internationale d'œuvrer à instaurer un cessez-le-feu immédiat à Gaza et à acheminer l'aide humanitaire à la population touchée, saluant les initiatives humanitaires et diplomatiques de Sa Majesté le Roi Mohammed VI afin de mettre fin aux souffrances du peuple palestinien et pour qu'il puisse jouir de ses droits légitimes.
Pour sa part, l'ex-ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Shoukri, a indiqué que les puissances internationales influentes s'accordent sur le fait que l'Autorité palestinienne, en tant que seul représentant légitime des Palestiniens, est capable de gérer Gaza après la fin de la guerre.
De son côté, le directeur du Centre international de recherche et des droits de l'Homme de Bruxelles (BIC), Ramadan Abou Jazar, a estimé que "la région ne connaîtra pas une stabilité et une paix véritables tant que le peuple palestinien est pris pour cible et que ses droits sont continuellement violés", saluant "la position ferme du Maroc en faveur de la question palestinienne, aux côtés des autres pays arabes, visant à permettre au peuple palestinien de jouir de ses droits légitimes".
L'ancien président de l'Assemblée générale des Nations Unies, Vuk Jeremic, a quant à lui, souligné qu’une véritable paix au Moyen-Orient doit garantir aux Palestiniens leurs droits légitimes, dans le cadre de la solution à deux États, déplorant la situation tragique qui prévaut à Gaza.
Il a, à cet égard, noté l'impératif de parvenir à un cessez-le feu immédiat dans la bande de Gaza et de mettre fin à la situation humanitaire dramatique qui s’y aggrave au fil des jours.
Placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la 16ème édition du Forum international MEDays réunit plus de 250 intervenants de très haut niveau dont des chefs d’État et de gouvernement, des décideurs politiques, des lauréats de Prix Nobel, des dirigeants de grandes entreprises internationales et des personnalités influentes devant un public de plus de 6.000 participants venus de plus de 100 pays.
(Avec MAP)
Ils ont également appelé à mettre en place des actions concrètes pour protéger les droits humains dans les territoires palestiniens, assurer l’application des résolutions onusiennes en la matière et à veiller au respect total des dispositions du Droit international et du Droit international humanitaire, et ce afin d'instaurer la paix, la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient dans le cadre de la solution à deux Etats, qui fait l’objet d’un consensus international et en vertu de laquelle Gaza fait partie intégrante des territoires palestiniens indépendants.
S'exprimant à cette occasion, l'envoyé spécial du président palestinien, Riyad Al Maliki, a souligné que la cause palestinienne se trouve aujourd'hui dans une situation critique, en raison de l'affaiblissement de l'Autorité palestinienne au cours des dernières années et des tentatives d'Israël de se soustraire aux engagements de l'accord d'Oslo et de vouloir saper la création d'un État palestinien dans les frontières de 1967.
Il a, dans ce sens, noté que l'Autorité palestinienne s'est employée, au fil des années, à mobiliser le soutien international en faveur de la cause palestinienne, ce qui a permis de porter à 149 le nombre des pays reconnaissant l'État de Palestine et de bénéficier du statut d'État observateur non membre auprès des Nations Unies, tout en continuant à œuvrer pour devenir membre à part entière de l'Organisation onusienne.
Concernant la situation actuelle à Gaza et en Cisjordanie, M. Al Maliki a souligné la nécessité pour la communauté internationale d'œuvrer à instaurer un cessez-le-feu immédiat à Gaza et à acheminer l'aide humanitaire à la population touchée, saluant les initiatives humanitaires et diplomatiques de Sa Majesté le Roi Mohammed VI afin de mettre fin aux souffrances du peuple palestinien et pour qu'il puisse jouir de ses droits légitimes.
Pour sa part, l'ex-ministre égyptien des Affaires étrangères, Sameh Shoukri, a indiqué que les puissances internationales influentes s'accordent sur le fait que l'Autorité palestinienne, en tant que seul représentant légitime des Palestiniens, est capable de gérer Gaza après la fin de la guerre.
De son côté, le directeur du Centre international de recherche et des droits de l'Homme de Bruxelles (BIC), Ramadan Abou Jazar, a estimé que "la région ne connaîtra pas une stabilité et une paix véritables tant que le peuple palestinien est pris pour cible et que ses droits sont continuellement violés", saluant "la position ferme du Maroc en faveur de la question palestinienne, aux côtés des autres pays arabes, visant à permettre au peuple palestinien de jouir de ses droits légitimes".
L'ancien président de l'Assemblée générale des Nations Unies, Vuk Jeremic, a quant à lui, souligné qu’une véritable paix au Moyen-Orient doit garantir aux Palestiniens leurs droits légitimes, dans le cadre de la solution à deux États, déplorant la situation tragique qui prévaut à Gaza.
Il a, à cet égard, noté l'impératif de parvenir à un cessez-le feu immédiat dans la bande de Gaza et de mettre fin à la situation humanitaire dramatique qui s’y aggrave au fil des jours.
Placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, la 16ème édition du Forum international MEDays réunit plus de 250 intervenants de très haut niveau dont des chefs d’État et de gouvernement, des décideurs politiques, des lauréats de Prix Nobel, des dirigeants de grandes entreprises internationales et des personnalités influentes devant un public de plus de 6.000 participants venus de plus de 100 pays.
(Avec MAP)