A l'occasion du 73ème anniversaire de la création du Raja Club Athletic de Casablanca du football, l'agence de communication "Group Action", spécialisée dans la communication institutionnelle, a édité un ouvrage en arabe, intitulé "Arajawi", de 168 pages, sur un papier couché intérieur de 115 grammes, de format 17 x 24 centimètres.
L’ouvrage initie ses volets par un aperçu historique, dans lequel il aborde les difficultés rencontrées lors de la fondation de l'équipe Arajawi, qui a vu le jour dans le derb Sultan, le 20 mars 1949, en passant par l'adhésion du regretté Père Jégo, qui a marqué de son empreinte unique sur le jeu collectif des éléments du Raja Casablanca.
Où il est passé à certains des volets d’introduction de l'équipe, aux présidents et entraîneurs qui ont réussi à diriger et entrainer le club Raja de Casablanca, où l’ouvrage s'arrête aux stations les plus importantes qui se distinguaient de l'âge d'or, jusqu'à la finale de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA qui s'est déroulée au cours des mois de novembre et décembre 2013 au Maroc.
"Des noms dans la mémoire", un volet dédié aux talentueux anciens joueurs de l'équipe, qui ont bien performé tout au long de leur carrière avec l'équipe, puisqu'ils ont inscrit leurs noms dans le livre d'or des géants du Raja.
Le parcours de l'équipe est lié à une saga en cours et à des titres locaux, africains, arabes et internationaux, qui sont résumés dans le volet des titres de l'équipe.
L’ouvrage conclut ses volets par un axe qui lui a donné la plus-value, intitulé "Opinions et Témoignages ", où il a contribué à son enrichissement, des journalistes arabes et marocains, intellectuels, artistes, anciens joueurs de l'équipe et diverses personnes fascinées par l'amour du Raja Casablanca.
Ceci est un très bref résumé des volets de l’ouvrage, puisqu'on s'arrête au mot de l'éditeur signé par Mohamed Saber, directeur de l'agence de communication, qui a pris l’initiative de préparer et de publier « Arajawi ».
Il a souligné dans un paragraphe qui a été republié au recto de la deuxième page de la couverture : "Il est à noter que les présidents partent, les entraîneurs partent, et même les joueurs partent, mais la foule rajaouie ne part pas et reste un supporter recruté derrière la marche de l'équipe, car seule la mort l'en éloignera.
L’ouvrage initie ses volets par un aperçu historique, dans lequel il aborde les difficultés rencontrées lors de la fondation de l'équipe Arajawi, qui a vu le jour dans le derb Sultan, le 20 mars 1949, en passant par l'adhésion du regretté Père Jégo, qui a marqué de son empreinte unique sur le jeu collectif des éléments du Raja Casablanca.
Où il est passé à certains des volets d’introduction de l'équipe, aux présidents et entraîneurs qui ont réussi à diriger et entrainer le club Raja de Casablanca, où l’ouvrage s'arrête aux stations les plus importantes qui se distinguaient de l'âge d'or, jusqu'à la finale de la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA qui s'est déroulée au cours des mois de novembre et décembre 2013 au Maroc.
"Des noms dans la mémoire", un volet dédié aux talentueux anciens joueurs de l'équipe, qui ont bien performé tout au long de leur carrière avec l'équipe, puisqu'ils ont inscrit leurs noms dans le livre d'or des géants du Raja.
Le parcours de l'équipe est lié à une saga en cours et à des titres locaux, africains, arabes et internationaux, qui sont résumés dans le volet des titres de l'équipe.
L’ouvrage conclut ses volets par un axe qui lui a donné la plus-value, intitulé "Opinions et Témoignages ", où il a contribué à son enrichissement, des journalistes arabes et marocains, intellectuels, artistes, anciens joueurs de l'équipe et diverses personnes fascinées par l'amour du Raja Casablanca.
Ceci est un très bref résumé des volets de l’ouvrage, puisqu'on s'arrête au mot de l'éditeur signé par Mohamed Saber, directeur de l'agence de communication, qui a pris l’initiative de préparer et de publier « Arajawi ».
Il a souligné dans un paragraphe qui a été republié au recto de la deuxième page de la couverture : "Il est à noter que les présidents partent, les entraîneurs partent, et même les joueurs partent, mais la foule rajaouie ne part pas et reste un supporter recruté derrière la marche de l'équipe, car seule la mort l'en éloignera.
