Les membres du Conseil régional de Casablanca- Settat ont convenu de tenir, jeudi 4 novembre, une session extraordinaire en vue d’adopter le projet de budget de l’année 2022 qui comprend la dotation destinée aux provinces et préfectures.
De ce fait, le débat revient à nouveau dans les rangs des acteurs de la société civile sur la nécessité de prendre en compte une équité territoriale dans la répartition des parts budgétaires.
Plusieurs acteurs associatifs de Casablanca ont confirmé que certains quartiers de la ville vivent dans l’ombre et subissent une exclusion de divers projets, ainsi que du budget qui leur est alloué par le Conseil communal, et ce au profit d’autres arrondissements « privilégiés ».
Dans ce contexte, El Mehdi Limina, membre du Conseil d’administration de l’Association Tahadi pour l’Egalité et la Citoyenneté (ATEC) et responsable des projets, dénonce la discrimination dont souffrent certains arrondissements de Casablanca et qui se manifeste clairement, entre autres, dans les grandes différences au niveau des infrastructures, des budgets alloués et des grands projets réalisés dans certains quartiers au détriment des autres.
Contacté par nos soins, El Mehdi Limina a précisé que « nous appelons à l’instauration d’une équité territoriale entre les 16 arrondissements de Casablanca, partant des entrées de la ville jusqu’aux budgets consacrés à chaque arrondissement ». Concernant les projets réalisés dans la capitale économique, qu’il s’agisse de constructions ou de réhabilitations, il dénonce « l’attention prêtée à certains arrondissements, un privilège né principalement d’une majorité de membres du Conseil communal qui appartient auxdits arrondissements ».
El Mehdi Limina a ajouté que «le Conseil précédent a exercé une sélectivité discriminatoire entre les arrondissements et une exclusion contre certains d’entre eux, ce que le Conseil actuel devrait éviter, que ce soit par le budget qui sera alloué aux provinces ou par les projets qui y seront programmés ».
Par ailleurs, plusieurs autres acteurs de la société civile estiment que le Conseil communal actuel, présidé par Nabila Rmili, est tenu d’agir différemment et de ne pas répéter les mêmes erreurs du Conseil précédent sous la direction du PJD, appelant ainsi à l’instauration d’une équité territoriale qui contribuera à la renaissance de quelques arrondissements autrefois marginalisés et qui garantira un meilleur rayonnement de la plus grande ville du Royaume.
De ce fait, le débat revient à nouveau dans les rangs des acteurs de la société civile sur la nécessité de prendre en compte une équité territoriale dans la répartition des parts budgétaires.
Plusieurs acteurs associatifs de Casablanca ont confirmé que certains quartiers de la ville vivent dans l’ombre et subissent une exclusion de divers projets, ainsi que du budget qui leur est alloué par le Conseil communal, et ce au profit d’autres arrondissements « privilégiés ».
Dans ce contexte, El Mehdi Limina, membre du Conseil d’administration de l’Association Tahadi pour l’Egalité et la Citoyenneté (ATEC) et responsable des projets, dénonce la discrimination dont souffrent certains arrondissements de Casablanca et qui se manifeste clairement, entre autres, dans les grandes différences au niveau des infrastructures, des budgets alloués et des grands projets réalisés dans certains quartiers au détriment des autres.
Contacté par nos soins, El Mehdi Limina a précisé que « nous appelons à l’instauration d’une équité territoriale entre les 16 arrondissements de Casablanca, partant des entrées de la ville jusqu’aux budgets consacrés à chaque arrondissement ». Concernant les projets réalisés dans la capitale économique, qu’il s’agisse de constructions ou de réhabilitations, il dénonce « l’attention prêtée à certains arrondissements, un privilège né principalement d’une majorité de membres du Conseil communal qui appartient auxdits arrondissements ».
El Mehdi Limina a ajouté que «le Conseil précédent a exercé une sélectivité discriminatoire entre les arrondissements et une exclusion contre certains d’entre eux, ce que le Conseil actuel devrait éviter, que ce soit par le budget qui sera alloué aux provinces ou par les projets qui y seront programmés ».
Par ailleurs, plusieurs autres acteurs de la société civile estiment que le Conseil communal actuel, présidé par Nabila Rmili, est tenu d’agir différemment et de ne pas répéter les mêmes erreurs du Conseil précédent sous la direction du PJD, appelant ainsi à l’instauration d’une équité territoriale qui contribuera à la renaissance de quelques arrondissements autrefois marginalisés et qui garantira un meilleur rayonnement de la plus grande ville du Royaume.
Achraf EL OUAD
Nouvelle présidente, nouvelle stratégie
Les participants à la réunion du Conseil de la Commune de Casablanca, tenue le 26 octobre, ont évoqué les nombreux problèmes rencontrés et auxquels la Commune devrait s’y pencher en vue de parvenir à des solutions conséquentes.
Ainsi et après avoir suivi les interventions des présidents des Arrondissements, Madame la Présidente de la Commune de Casablanca, Nabila Rmili, a décidé d’effectuer des visites dans chaque Arrondissement pour s’informer des problèmes et des difficultés qui entravent le bon fonctionnement de leur travail.
Aussi, Mme Rmili a appelé à l’adoption, dans les meilleurs délais, des règlements intérieurs des différents Arrondissements, et ce avant la tenue de la session du Conseil de la Commune de Casablanca, prévue le 12 novembre 2021.