"Ces réalisations sont le fruit de la politique clairvoyante et visionnaire de Feu SM Hassan II et ont été consolidées par la vision "perspicace et anticipative" de Sa Majesté le Roi Mohammed VI", a jouté M. Baraka lors d’une conférence de haut niveau autour de la pénurie d’eau et la sécurité hydrique, organisée en marge de ces Assemblées.
Intervenant lors de cette conférence, qui avait pour thème "La soif de solutions : défis mondiaux et solutions locales pour faire face à la pénurie de l’eau et assurer la sécurité de l’eau au Moyen-Orient et en Afrique du Nord", M. Baraka a rappelé que la politique actuelle de l’eau menée par le Maroc se base essentiellement sur trois piliers.
Il s’agit, a-t-il détaillé, du renforcement de la mobilisation des ressources en eau conventionnelles, à travers la réalisation des barrages, la collecte des eaux pluviales, les projets de transferts interbassins, ainsi que la bonne gestion des eaux souterraines, du développement des ressources en eau non-conventionnelles par le dessalement de l’eau de mer et la réutilisation des eaux usées épurées et enfin la gestion de la demande en eau, à travers l’amélioration des rendements des réseaux d’approvisionnement en cette ressource vitale et la lutte contre son gaspillage.
S'agissant des perspectives d’avenir liées au développement et à la gestion des ressources en eau, M. Baraka a indiqué que le Maroc a approuvé les Plans Directeurs d’Aménagement Intégré des Ressources en Eau de sept Agences de Bassins Hydrauliques et que cette action sera finalisée au terme de 2023.
Dans la même optique, le ministre a indiqué que le Plan National de l’Eau à l’horizon 2050 est en cours d’actualisation, conformément aux Hautes Instructions Royales et aux orientations tracées par le Nouveau Modèle de Développement.
Par ailleurs, le ministre de l’Equipement et de l’Eau a souligné le rôle de la coopération internationale dans la concrétisation des programmes marocains de développement des ressources en eau et de l’économie de l’eau.
Il n’a pas manqué, également, de qualifier de "durable" le modèle de financement pour le secteur de l’eau au Maroc, vu qu’il est diversifié, en se basant sur plusieurs sources de financement.
M. Baraka a relevé que cette conférence de haut niveau est un moment opportun pour partager avec la communauté internationale l’expérience du Maroc quant aux solutions de résilience à la pénurie de l’eau face à l’impact des changements climatiques.
L’expérience marocaine est bien connue de la part de la BM et du FMI avec lesquels le Maroc entretient des relations distinguées et une coopération continue dans tous les domaines, notamment dans le domaine de l’eau, s'est-il félicité.
M. Baraka a appelé, par ailleurs, à investir de plus en plus dans des solutions intégrées, innovantes et adaptées aux spécificités de chaque zone de la région MENA et à échanger les bonnes pratiques et les meilleurs projets dans le domaine de l’eau.
Rappelant les effets du changement climatique qui bat de plein fouet une grande partie du globe terrestre, M. Baraka a fait observer que la région MENA est une région "vulnérable" dont les ressources en eau sont des plus rares, avec un amenuisement accéléré face à des besoins en continuelle croissance.
A cet effet, M. Baraka a plaidé pour la recherche de solutions efficaces, intégrées et innovatrices visant à assurer la sécurité hydrique, qui a toujours été et continue d’être, a-t-il poursuivi, la condition nécessaire à la sécurité alimentaire et au développement socio-économiques de la région MENA.
Intervenant lors de cette conférence, qui avait pour thème "La soif de solutions : défis mondiaux et solutions locales pour faire face à la pénurie de l’eau et assurer la sécurité de l’eau au Moyen-Orient et en Afrique du Nord", M. Baraka a rappelé que la politique actuelle de l’eau menée par le Maroc se base essentiellement sur trois piliers.
Il s’agit, a-t-il détaillé, du renforcement de la mobilisation des ressources en eau conventionnelles, à travers la réalisation des barrages, la collecte des eaux pluviales, les projets de transferts interbassins, ainsi que la bonne gestion des eaux souterraines, du développement des ressources en eau non-conventionnelles par le dessalement de l’eau de mer et la réutilisation des eaux usées épurées et enfin la gestion de la demande en eau, à travers l’amélioration des rendements des réseaux d’approvisionnement en cette ressource vitale et la lutte contre son gaspillage.
S'agissant des perspectives d’avenir liées au développement et à la gestion des ressources en eau, M. Baraka a indiqué que le Maroc a approuvé les Plans Directeurs d’Aménagement Intégré des Ressources en Eau de sept Agences de Bassins Hydrauliques et que cette action sera finalisée au terme de 2023.
Dans la même optique, le ministre a indiqué que le Plan National de l’Eau à l’horizon 2050 est en cours d’actualisation, conformément aux Hautes Instructions Royales et aux orientations tracées par le Nouveau Modèle de Développement.
Par ailleurs, le ministre de l’Equipement et de l’Eau a souligné le rôle de la coopération internationale dans la concrétisation des programmes marocains de développement des ressources en eau et de l’économie de l’eau.
Il n’a pas manqué, également, de qualifier de "durable" le modèle de financement pour le secteur de l’eau au Maroc, vu qu’il est diversifié, en se basant sur plusieurs sources de financement.
M. Baraka a relevé que cette conférence de haut niveau est un moment opportun pour partager avec la communauté internationale l’expérience du Maroc quant aux solutions de résilience à la pénurie de l’eau face à l’impact des changements climatiques.
L’expérience marocaine est bien connue de la part de la BM et du FMI avec lesquels le Maroc entretient des relations distinguées et une coopération continue dans tous les domaines, notamment dans le domaine de l’eau, s'est-il félicité.
M. Baraka a appelé, par ailleurs, à investir de plus en plus dans des solutions intégrées, innovantes et adaptées aux spécificités de chaque zone de la région MENA et à échanger les bonnes pratiques et les meilleurs projets dans le domaine de l’eau.
Rappelant les effets du changement climatique qui bat de plein fouet une grande partie du globe terrestre, M. Baraka a fait observer que la région MENA est une région "vulnérable" dont les ressources en eau sont des plus rares, avec un amenuisement accéléré face à des besoins en continuelle croissance.
A cet effet, M. Baraka a plaidé pour la recherche de solutions efficaces, intégrées et innovatrices visant à assurer la sécurité hydrique, qui a toujours été et continue d’être, a-t-il poursuivi, la condition nécessaire à la sécurité alimentaire et au développement socio-économiques de la région MENA.