376 millions de dollars, c’est le montant que la Banque mondiale a débloqué pour le renforcement du capital humain et de l’autonomisation des jeunes filles dans plusieurs pays africains subsahariens. Ce financement de l’Association internationale de développement (IDA) permettra ainsi de renforcer le capital humain en Afrique et d’améliorer les résultats de la région en matière de développement humain.
Il est à rappeler que c’est le quatrième financement additionnel au titre du projet pour l’autonomisation des femmes et du dividende démographique au Sahel (SWEDD), une initiative mise en œuvre dans plusieurs pays africains dont la Côte d’Ivoire, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad. Ce nouvel appui financier porte l’investissement total de la Banque mondiale en faveur du SWEDD à 680 millions de dollars auxquels s’ajoutent dix millions d’euros de l’Agence française de développement (AFD) au titre d’un financement parallèle, souligne le communiqué.
Ce financement permettra également d’intensifier les activités en cours en Côte d’Ivoire, au Mali, au Niger, au Burkina Faso, en Mauritanie, au Tchad, et de les étendre à deux nouveaux pays que sont le Cameroun et la Guinée dans le cadre de la phase 2 du projet SWEDD.
Le projet SWEDD s’inscrit dans la ligne de l’agenda 2063 de l’Union africaine (UA) ainsi que des stratégies nationales des pays bénéficiaires. Il contribue également à la stratégie d’aide à l’intégration et à la coopération régionale du Groupe de la Banque mondiale qui met l’accent sur le développement du capital humain et l’émancipation économique des femmes.
Il est à rappeler que c’est le quatrième financement additionnel au titre du projet pour l’autonomisation des femmes et du dividende démographique au Sahel (SWEDD), une initiative mise en œuvre dans plusieurs pays africains dont la Côte d’Ivoire, le Niger, le Burkina Faso et le Tchad. Ce nouvel appui financier porte l’investissement total de la Banque mondiale en faveur du SWEDD à 680 millions de dollars auxquels s’ajoutent dix millions d’euros de l’Agence française de développement (AFD) au titre d’un financement parallèle, souligne le communiqué.
Ce financement permettra également d’intensifier les activités en cours en Côte d’Ivoire, au Mali, au Niger, au Burkina Faso, en Mauritanie, au Tchad, et de les étendre à deux nouveaux pays que sont le Cameroun et la Guinée dans le cadre de la phase 2 du projet SWEDD.
Le projet SWEDD s’inscrit dans la ligne de l’agenda 2063 de l’Union africaine (UA) ainsi que des stratégies nationales des pays bénéficiaires. Il contribue également à la stratégie d’aide à l’intégration et à la coopération régionale du Groupe de la Banque mondiale qui met l’accent sur le développement du capital humain et l’émancipation économique des femmes.